Publié le jeudi 01 octobre 2009 - 17h17
L’activité commence à montrer quelques signes de reprise, après un mois de forte pression commerciale. Le pic des vêlages semble être atteint et les disponibilités devraient se réduire. Mais l’offre reste encore importante ce qui ne permet pas de fluidifier les échanges.
Sur les autres marchés européens, les tarifs sont supérieurs d’une vingtaine d’euros aux cours français. Mais seuls les veaux munis de certificat indiquant qu’ils proviennent d’élevages vaccinés contre la FCO. peuvent être exportés.
Les tarifs des prim'holsteins sont stables. La grande majorité des veaux se négocient entre 70 et 100 € par tête. Les plus lourds, destinés à produire des jeunes bovins, atteignent difficilement 115 € par tête. Les moins de 45 kg n’ont plus de réelle valeur marchande. Globalement la qualité est en baisse. La faiblesse des prix ne motive pas les éleveurs à préparer leurs animaux pour la vente.
Pour les normands et les montbéliards, la vente est plus régulière pour les labels dans les berceaux de production. Mais la commercialisation demeure laborieuse avec des tarifs malmenés sur les autres marchés français.
Pour les veaux croisés, l’offre tend à diminuer. A Lezay et Château-Gontier, les prix des bons veaux de races pure et croisés ont légèrement progressé. Pas de grand changement dans le sud du pays.
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