Une proposition de loi visant à lutter contre les espèces végétales et animales dont la prolifération nuit à la santé humaine a été déposée à l'Assemblée nationale le 5 novembre 2014.
Ce texte, soutenu entre autres par Alain Moyne-Bressand (UMP), remplace la proposition de loi de lutte contre les ambroisies qui avait été rejetée en décembre 2013. Sont concernés l'ambroisie, le datura, la berce du Caucase ou encore les chenilles processionnaires...
Cette proposition de loi prévoit l'obligation – notamment pour les propriétaires, locataires, exploitants entrepreneurs de travaux publics ou privés – de mettre en œuvre sans délai et à leurs frais les mesures visant à éviter ou réduite la prolifération de l'espèce considérée ou à l'éradiquer.