Tendances céréales
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Légère hausse du blé
Les cours du blé rendu Rouen ont légèrement progressé mardi. La demande des exportateurs se poursuit pour couvrir des affaires en cours d'exécution, notamment à destination de l'Algérie et du Maroc, tandis que l'offre est limitée.
Le blé français n'est cependant pas compétitif sur le marché international et les nouvelles affaires se font rares. L'Egypte a ainsi acheté ce mardi 144 000 tonnes, dont 60 000 tonnes en provenance des Etats-Unis et 84 000 tonnes de la Russie.
Les cours de l'orge demeurent stables. Le maïs suit la tendance du blé avec toutefois une activité toujours assez limitée.
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mardi 20 mars 2007 - 18h29
Blé toujours bien tenu
Les cours des céréales sont restés lundi sur les mêmes niveaux qu'en fin de semaine dernière. Malgré la baisse des prix aux Etats-Unis, le blé français est toujours bien tenu. Les disponibilités se réduisent, tandis que les acheteurs ont des besoins à couvrir sur la fin de la campagne actuelle.
En portuaire, (rendu Rouen,...) les exportateurs poursuivent ainsi leurs achats pour des affaires en cours d'exécution à destination notamment du Maghreb.
La concurrence de la mer Noire et le niveau élevé de l'euro face au dollar pénalisent toutefois les céréales européennes. Le manque d'activité à l'export pays tiers pèse ainsi sur l'orge. Celle-ci a par contre retrouvé de la compétitivité sur le marché communautaire, auprès des fabricants d'aliments.
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lundi 19 mars 2007 - 17h59
Bonne résistance des prix
C’est toujours la faible disponibilité qui donne le ton pour l’évolution des cours européens des céréales.
Ceux-ci restaient fermes vendredi, avec des vendeurs qui veulent imposer leurs prix. Ceux-ci profitent toujours de la possibilité de voir le thermomètre chuter violemment et causer des dégâts aux céréales, alors qu’une récolte abondante à l’échelle de la planète sera nécessaire pour ne pas voir les stocks s’effondrer un peu plus.
Au niveau mondial, le blé et le maïs ont flanché cette semaine à Chicago, en raison de la méforme des grandes places boursières mondiales et des ventes importantes des fonds financiers. L’onde de choc ne semble pas avoir traversé l’Atlantique, et le faible niveau du dollar face à l’euro n’a pas non plus tiré vers le bas les prix des céréales européennes.
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vendredi 16 mars 2007 - 18h37
Fermeté toujours à l’ordre du jour
L’ambiance est toujours à la fermeté sur le marché des céréales, alors que les disponibilités sont de plus en plus réduites.
Mercredi, l’Egypte portait de nouveau son dévolu sur la Russie pour 120 000 t de blé. Le même jour, l’Office national interprofessionnel des grandes cultures (OniGC) soulignait la présence probable de la mer Noire jusqu’à la fin de la campagne et de la concurrence que cela représentera sur nos marchés habituels.
La demande de la part des fabricants d’aliments ont permis de stabiliser les cours de l’orge de mouture. Mais la campagne étant quasiment faite, les regards se tournent désormais sur le thermomètre, avec l’annonce du retour du froid et les craintes qu’il fait peser sur les cultures.
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jeudi 15 mars 2007 - 19h09
Bonne tenue du cours des céréales grâce à des appels d'offre internationaux et à une demande intérieure vers les fabricants d'aliment et les amidonniers.
Les appels d’offre égyptien, jordanien et marocain pour des céréales soutenaient la fermeté des cours mercredi. En blé, sur le marché intérieur, la situation reste tendue sur le rapproché en particulier sur le portuaire où les besoins de marchandises sont importants. Vers l’Union Européenne, le marché est également bien orienté. Les besoins de couverture des meuniers et des fabricants d’aliment du bétail sont loin d’être effectués pour la soudure.
En orge, après une longue période de baisse, le marché semble se ressaisir en sympathie avec la bonne tenue du blé. L’Arabie Saoudite doit revenir aux achats et la plupart des fabricants d’aliment du bétail n’ont pas couvert tous leurs besoins. Au prix actuel, l’orge redevient compétitive dans les formules de l’alimentation animale.
En maïs, malgré les faibles volumes de transaction, le marché a également tendance à se stabiliser avec une tendance haussière dans le sillage du blé. On remarque un retour aux achats des fabricants d’aliments et des amidonniers.
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mercredi 14 mars 2007 - 17h58
Raffermissement en blé
Le prix du blé s'est légèrement raffermi, mardi, sur le port de Rouen, en raison d'une « forte rétention des vendeurs ».
«Les disponibilités sont très restreintes sur les mois restants de cette fin de campagne et chaque grain de blé vaut de l'or. Les vendeurs le savent et jouent la hausse », a confié un opérateur.
Le raffermissement du prix du blé profite à l'orge fourragère et au maïs qui retrouvent un intérêt auprès des fabricants d'aliments pour bétail.
Sur l'Euronext (marché à terme européen), le blé meunier gagnait également un euro avec 1 589 lots traités en milieu de journée.
Les prix des blés nouveaux qui arriveront courant juillet étaient inchangés. « Ces blés sont encore loin d'être à l'abri d'un coup de gel tardif, d'un moment de chaleur à la floraison ou de fortes pluies durant la moisson », a prévenu un courtier citant en exemple la récolte en Inde.
Initialement prévue entre 73 et 74 millions de tonnes (Mt) contre 69,5 Mt l'an dernier, la récolte indienne pourrait être revue à la baisse, affectée par des conditions climatiques maintenant défavorables (pluies, vents).
Au Canada, aussi, la production de blé tendre est attendue en baisse de 15% à 20,1 Mt. Mais ce recul serait la conséquence d'un report d'intérêt des agriculteurs vers le blé dur (+20%), l'orge (+31%) et le canola (+10%), a estimé mardi le ministère canadien de l'Agriculture.
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mardi 13 mars 2007 - 18h46
Les prix des céréales sont restés stables, lundi, sur un marché français sans réelle direction après un bilan de l'USDA qualifié de «neutre».
Les prix des céréales sont restés stables, lundi, sur un marché français sans réelle direction après un bilan de l'USDA qualifié de « neutre », ont indiqué les opérateurs. On attend maintenant celui de l'ONIGC (Office national interprofessionnel des grandes cultures), prévu mercredi prochain », a précisé l'un d'eux.
Vendredi, le département américain de l'Agriculture (USDA) a revu à la hausse la production mondiale de blé de 1,1 Mt en raison essentiellement d'un réajustement de la production en Inde (+1,3 Mt à 69,35 Mt). Mais, dans le même temps, la consommation mondiale a également été revue à la hausse de 1,2 Mt ce qui permet au bilan final de rester équilibré.
Au niveau européen, le département US a révisé à la baisse de 1 Mt à 14 Mt les prévisions d'exportations pour la campagne en cours.
« Ce n'est pas une surprise car cela reflète notre manque de compétitivité à l'international, conséquence d'une parité euro/dollar toujours pénalisante », a constaté un intermédiaire.
Selon les derniers chiffres de la Commission européenne, les certificats à l'exportation auraient été délivrés pour un volume de 6,9 Mt de blé tendre (grain et farine) contre 10,3 Mt l'an passé à la même date.
Malgré cette panne à l'exportation, le prix du blé sur le marché français demeure assez bien orienté, soutenu par le peu de disponibilités restant sur la fin de la campagne en cours (fin juin).
Pour la campagne nouvelle (début juillet), les opérateurs observent encore un prudente réserve « car les craintes d'un gel tardif sur des cultures très avancées, n'est toujours pas à exclure », selon l'un d'eux.
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lundi 12 mars 2007 - 18h20
Fermeté du blé
Les cours du blé ont terminé la semaine sur une note de fermeté, tandis que les autres céréales sont restées stables vendredi.
Les bonnes perspectives, jusque-là, concernant la prochaine récolte sont plutôt un élément baissier mais le marché français commence à s'interroger sur les volumes de blé restant disponibles à la vente.
Par ailleurs, Bruxelles a pratiquement épuisé tout le stock d'intervention. Sur les 15 Mt de stocks publics de céréales en début de campagne, il reste environ 5 Mt dont 3,5 Mt de maïs hongrois.
Sur l'international, le Maroc a fait savoir qu'il avait finalement accordé des licences pour l'importation de 165 000 tonnes de blé, dont une grande partie d'origine française.
L'orge demeure sous pression en raison du net ralentissement de l'activité à l'exportation pays tiers. En revanche cette céréale semble retrouver de l'intérêt auprès de fabricants d'aliments de l'UE.
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vendredi 09 mars 2007 - 18h48