Le quotidien breton, Le Télégramme, a publié le 17 septembre 2012 une enquête sur les seize juges du tribunal de commerce de Quimper. Celle-ci révèle la proximité de certains juges avec le groupe Doux.
Un des seize juges du tribunal dirige les services juridiques du Groupe, un autre est commissaire aux comptes du groupe. Le conflit d'intérêt est manifeste selon le quotidien qui signale cinq autres conflits potentiels.
Quant au rejet de l'offre initiale de Sofiprotéol, LeTélégramme relève que si « sur le plan industriel cette offre était plus solide et pérenne », en droit elle était bancale alors que Doux « s'était entouré des meilleurs avocats ».