Tendances céréales
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marché indécis
Les cours du blé sont restés fermes mardi. Les acheteurs ont des besoins à couvrir sur le rapproché, tandis que les vendeurs demeurent peu présents. Le maïs suit la tendance du blé, tandis que l'orge restent plus stable. Sur le marché à terme Euronext, les prix étaient par contre légèrement orientés à la baisse pour le blé comme pour le maïs.
Avec 6,5 millions de tonnes (Mt) pour les six premiers mois de la campagne 2006-2007, les exportations accusent une baisse de 5 % par rapport à la même période de la campagne précédente, ont indiqué les services des douanes. Les exportations de maïs (2,9 Mt) régressent de 9% tandis que celles d'orge avec 2,02 Mt ont progressé de 19%.
Selon ces mêmes statistiques douanières, les exportations françaises vers les pays de l'Union européenne régressent de 10% (4,03 Mt) mais augmentent de 4% vers les pays tiers (2,44 Mt), en direction de l'Algérie principalement.
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mardi 20 février 2007 - 19h24
Cours mieux orientés
Les cours des céréales ont débuté la semaine sur une orientation positive, dans un marché toutefois très calme, faute de vendeurs. Le blé rendu Rouen gagnait environ 2 €/t sur les échéances de livraison rapprochées. Le marché à terme Euronext progressait également. Les céréales avaient clôturé nettement en hausse vendredi à Chicago, notamment en raison de craintes d'une possible sécheresse sur les grandes plaines américaines de production du maïs.
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lundi 19 février 2007 - 18h50
Stabilité des prix
Les cours des céréales ont été pratiquement stables vendredi. Les prix du blé étaient toutefois légèrement plus fermes en début de séance sur le marché à terme Euronext, après la clôture en recul de la veille.
Le Maroc a lancé un appel d'offres pour l'achat de 150 000 tonnes de blé tendre d'origine Union européenne. Cet appel d'offres entre dans le cadre d'accords tarifaires préférentiels passés entre le Royaume du Maroc et l'UE.
Par ailleurs, Bruxelles semble amorcer un ralentissement des ventes de céréales issues des stocks d'intervention. L'orge de mouture demeure sous pression, en raison d'une concurrence accrue de l'Ukraine sur le marché international. L'orge de brasserie reste ferme. En maïs, les échanges sont calmes.
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vendredi 16 février 2007 - 18h02
le blé se maintient, autres céréales sous pression
Les cours du blé sont restés pratiquement stables jeudi, tandis que ceux des autres céréales étaient davantage sous pression. L'euro a nettement dépassé le seuil de 1,31 dollar jeudi matin à Paris et atteint un de ses plus hauts niveaux depuis le début de l'année.
En difficulté à l’exportation pays tiers, le blé conserve un courant d’affaires régulier sur le marché français et communautaire.
L’effritement de l’orge se poursuit en raison de perspectives défavorables à l’exportation pays tiers, la concurrence de l’Ukraine étant plus présente suite à une augmentation de ses quotas d’exportation. Le maïs manque d’activité.
Les opérateurs étaient par ailleurs dans l'attente de connaître quelles quantités de céréales d'intervention seraient remises à la vente sur le marché intérieur par le comité de gestion en charge des céréales à Bruxelles.
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jeudi 15 février 2007 - 18h24
Les prix évoluent peu
Les prix des céréales sont restés sans grands changements, mercredi sur le marché français, toujours en panne d'exportations en raison d'une parité euro/dollar défavorable.
Sur le marché des changes l'euro a pratiquement atteint mercredi matin à Paris, le seuil de 1,31 dollar pour la première fois depuis début janvier. Trop chers, les blés français ont été exclus des récents appels d'offres internationaux, notamment sur l'Egypte.
Les vendeurs sont toutefois peu présents et l’activité est concentrée sur le marché communautaire.
En orge, la demande pays tiers a ralenti. L’origine mer Noire se fait plus présente. Les cours demeurent sous pression.
Le maïs subit quant à lui la concurrence de l’origine hongroise sur le marché nord-communautaire et les importations en provenance de pays tiers sont en avance par rapport à la la campagne passée.
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mercredi 14 février 2007 - 18h10
Stabilité
Les prix des céréales sont restés stables mardi, sur un marché français peu actif dans l'attente de la publication mercredi du bilan mensuel de l'Office des grandes cultures (Onigc). Les opérateurs s’attendent notamment à une révision en baisse des prévisions d’exportation de blé sur pays tiers. En orge, les cours rendu Rouen ont été affectés les jours derniers par la perspective d'une concurrence accrue des orges ukrainienne. Récemment l'Ukraine a décidé d'augmenter de 600 000 tonnes ses quotas d'exportation pour cette céréale. Le maïs se stabilise ce début de semaine, dans le sillage du blé.
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mardi 13 février 2007 - 18h14
Ambiance attentiste
Les prix des céréales sont restés stables lundi dans un marché français toujours en attente de nouveaux contrats à l'exportation pays tiers. Les vendeurs sont toutefois peu présents et montrent peu d’intérêt pour le niveau actuel des cours. Les volumes d’intervention remis en vente par Bruxelles ne favorisent pas l’activité sur le marché communautaire. Le marché de Chicago a terminé en légère hausse pour le blé, dans le sillage du maïs et du soja, vendredi, après la publication du rapport mensuel de l’USDA, considéré comme neutre.
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lundi 12 février 2007 - 18h22
Les prix continuent de s’effriter
Les cours du blé et du maïs ont de nouveau perdu un peu de terrain cette fin de semaine. En blé, la tendance est toujours affectée par le manque de compétitivité à l'exportation illustré par les derniers achats de l'Egypte (270 000 t achetées mercredi en provenance de la mer Noire et des Etats-Unis) et la Tunisie.
Celle-ci a conclu jeudi un achat de 92 000 tonnes de blé à l'origine non précisée mais qui devrait probablement être en provenance de la mer Noire compte-tenu des prix pratiqués (215,86 à 216,92 dollars, soit 166 à 167 euros, coût et fret compris).
L'Ukraine a fait savoir qu'elle augmentait ses quotas d'exportation de céréales de 864 000 tonnes dont 600 000 tonnes d'orge, 228 000 tonnes de blé et 30 000 tonnes de maïs. Ces quantités viennent s'ajouter aux quotas de 1,1 million de tonnes mis en place en octobre dernier par l'Ukraine pour protéger son marché intérieur affecté par une petite récolte.
Pour les céréales françaises, l’activité se concentre en ce moment sur le marché communautaire, malgré la concurrence des volumes remis en vente par Bruxelles au départ des stocks d’intervention . La demande en maïs est toutefois peu active et les prix suivent la tendance du blé.
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vendredi 09 février 2007 - 19h07