accueil  Accueil / Actualités / Viandes rouges/UE : FranceAgriMer inquiète de l'extension de l'embargo russe aux abats

Viandes rouges/UE

FranceAgriMer inquiète de l'extension de l'embargo russe aux abats

Publié le mercredi 12 novembre 2014 - 17h39

    • agrandirla taille du texte
    • reduire la taille du texte
    • imprimer

L'embargo sur les viandes de l'Union européenne mis en place en août par la Russie se voit étendu, depuis le 20 octobre, aux abats. Le sujet n'a pas manqué d'être abordé lors de la réunion du conseil spécialisé de la filière des viandes rouges de FranceAgriMer, le 5 novembre 2014.

 

« La Russie importe essentiellement des abats congelés en provenance de l'Irlande, de la France, de l'Allemagne, de l'Italie et du Danemark, détaille FranceAgriMer dans un communiqué de presse envoyé le 10 novembre. Du côté des viandes, l'embargo russe déstabilise le marché européen avec le report des exportations de Pologne et de Lituanie, gros fournisseurs de la Russie. »

 

FranceAgriMer convient que « les hausses d'abattages de vaches laitières dans l'Union européenne aggravent l'impact sur la plupart des cours, qui baissent sensiblement par rapport à l'an dernier. Si le commerce d'animaux vivants n'est pas concerné par l'embargo de l'été 2014, le marché russe était jusqu'à présent fermé aux bovins français pour raisons sanitaires. »

 

Toutefois, le marché des reproducteurs semble déroger à ces règles. Des lots de génisses seraient en chemin vers la Russie. « Des négociations sont également bien avancées avec le Kazakhstan et la Biélorussie a levé son embargo, se réjouit FranceAgriMer. L'Ukraine pourrait également ouvrir son marché. »

 

Par ailleurs, le  conseil spécialisé a également débattu de la rénovation du dispositif de cotations des gros bovins maigres. « La réflexion prend forme en vue de rendre le nouveau dispositif effectif à l'automne 2015 », assure FranceAgriMer.

 

Du côté des ovins, le conseil spécialisé s'est montré favorable au projet de financement des centres d'élevage et des stations de contrôle. « Cette décision permettra de renforcer les actions de testage et l'innovation dans le domaine de la génétique ovine, grâce à un budget complémentaire de 250.000 € », chiffre FranceAgriMer.

 


Les commentaires de nos abonnés (0)
Connectez-vous pour réagir  Soyez le premier à commenter cet article.
Fonctionnalité réservée aux abonnés

Le commentaire d'article est réservé aux abonnés de La France Agricole.

Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.

Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :

Dernières Actualités
A lire également
Archives agricoles


SERVICES EXPERTS

>Première inscription

Je suis déjà inscrit :
Mon identifiant :
Mon mot de passe :  
| Aide |
puce Identifiants oubliés ?
puce Toutes les offres d'abonnement
> Feuilletez un ancien numéro

SONDAGE

Santé animale : avez-vous enregistré des cas d'antibiorésistance dans votre élevage ?

> Tous les Sondages
Les sujets
LES PLUS LUS

Archives de
La France Agricole

Recherchez

dans les archives de la France Agricole et

Feuilletez

les numéros depuis 2004

Suivez La France Agricole :
la France Agricole sur Facebook La France Agricole sur twitter La France Agricole sur Google +

Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles

> Découvrir nos Offres

Les publications du Groupe France Agricole
En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies afin de nous permettre d’améliorer votre expérience utilisateur. En savoir plus et paramétrer les traceurs. OK