Depuis quatre ans, Orobanche cumana a officiellement fait son entrée dans le Sud. La très forte nuisibilité de ce parasite du tournesol incite à la plus grande prudence.
En petit nombre, il est possible de les arracher puis de les placer dans un sac plastique avant de les détruire. Quand c'est impossible, les cannes sont enfouies sans broyage afin de limiter au maximum la dispersion des petites graines. Le matériel est ensuite nettoyé.
Chaque parcelle touchée doit être signalée au Cetiom, qui suit l'évolution du phénomène. En attendant une éventuelle résistance génétique, les variétés Clearfield désherbées au Pulsar 40 permettent la poursuite de la culture.