Le ministère de l'Agriculture a placé la journée du 24 février 2015 au Salon de l'agriculture sous le signe de l'enseignement agricole.
Dès le matin, la ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a rencontré avec Stéphane Le Foll des élèves de plusieurs établissements publics et privés, pour parler avec eux de citoyenneté.
Après le lancement du forum « Mobilisation de l'enseignement agricole pour les valeurs de la République », le mois dernier, ce débat est le premier d'une série de trois, qui devrait se conclure le 7 avril prochain par « une journée nationale de restitution, d'échanges et de propositions d'actions ». Les deux ministres ont ensuite fait le tour des différents stands où les attendaient les acteurs du secteur: Cneap, MFR, Unrep...
« Rendre accessible le programme Erasmus au plus grand nombre »
L'après-midi, c'était au tour de Geneviève Fioraso, secrétaire d'état à l'Enseignement supérieur et à la Recherche, d'accompagner le ministre de l'Agriculture lors d'une conférence sur la mobilité internationale des jeunes. Avec une volonté affirmée : « rendre accessible le programme Erasmus au plus grand nombre ».
1.000 conventions de partenariat avec des établissements agricoles d'autres pays ont été signées jusqu'à présent, a souligné Stéphane Le Foll. Des progrès restent pourtant à faire pour pousser les étudiant post bac à effectuer des stages à l'étranger. Seuls 10 % des BTS y ont recours, alors que l'objectif fixé par le ministère est de 20 %. « La dimension de coopération internationale est un atout pour les élèves, a insisté le ministre. Ils peuvent se confronter à des réalités différentes, acquérir de nouveaux savoirs, de nouvelles techniques. Un plus pour se réaliser et réussir dans sa propre vie! »
Une université en ligne pour les agrosciences
Il est à noter que la journée s'est achevée en présence d'Emmanuel Macron sur le stand de l'Inra, pour l'inauguration de Agreenium-IAVFF, une université en ligne pour les agrosciences. Pilotée par l'Institut agronomique vétérinaire et forestier, cette « e-université » devrait proposer des formations diplômantes en langue française. Les inscriptions sont d'ores et déjà ouvertes sur www.france-université-numerique-mooc.fr.
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mercredi 25 février 2015 - 12h14
devant l'incapacité du ministère de l'agriculture à régler le moindre problème et afin d'essayer de' sauver les prochaines élections on détourne le problème sur l'enseignement principale support des beausiegnes de ce gouvernement minable pour l'agriculture.