« Evitons les solutions simplistes », a déclaré Delphine Batho, la ministre de l'Ecologie dimanche au micro d'Europe 1 au sujet de l'abattage des loups.
« C'est un problème difficile. Ce vers quoi nous nous acheminons, c'est une gestion différenciée. C'est-à-dire que la situation n'est pas la même dans le Mercantour qu'en Savoie ou dans les Cévennes. Il y aura des endroits où l'on aura davantage recours aux tirs d'effarouchement », a-t-elle indiqué.
La ministre a aussi précisé qu'elle travaillait « main dans la main » avec Stéphane Le Foll sur ce dossier. Des propositions seront annoncées à la fin de janvier en vue d'adopter une nouvelle politique de gestion pour la période 2013-2017.
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mardi 04 décembre 2012 - 09h32
Comme les loups se reproduisent plus vite qu'ils ne disparaissent de plus en plus de secteurs seront colonisés. Cela va devenir intenable et il ne sera pas possible éternellement de jouer à l'équilibriste entre élevage et écolos. Inéluctablement il faudra tirer plus de loups. Enfin, le jour où il y aura une attaque (et c'est inévitable, tôt ou tard) sur un humain, il y aura un déchainement des médias: bon courage aux politiques à ce moment là (surtout si c'est un enfant). Enfin, que' feront ils si la rage réapparaît?