Une « offre en germe » pour la reprise de l'abattoir Doux de Graincourt (Pas-de-Calais, 253 emplois), irrecevable juridiquement mais pouvant être améliorée, a été déposée vendredi pour le compte d'une société iranienne, a-t-on appris auprès d'un administrateur.
Ce « début d'offre », bien que déposé en temps et en heure, « n'est pas recevable au sens juridique du terme en l'état », a expliqué Sophie Gautier, un des administrateurs judiciaires chargés du dossier Doux. « Elle pose beaucoup de conditions. C'est une offre en germe qu'il faut creuser, elle peut être améliorée. Il faut étudier le caractère sérieux du projet et la rendre conforme ».