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Volailles de chair

La France a « vocation à être un des leaders européens » (FIA)

Publié le jeudi 21 juin 2012 - 16h21

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C'est un message d'espoir pour l'avenir de la filière qu'a délivré la Fédération des industries avicoles (FIA), réunie jeudi en assemblée générale.

 

Le président de la FIA, Gilles Huttepain, a clôturé l'assemblée générale sur un message d'espoir : celui du rebond de la filière. « La FIA veut défendre ses 30.000 emplois, ses 6 milliards de chiffre d'affaires, insiste-t-il. Oui, nous avons vocation à être un des leaders européens de la volaille. Aide-toi, le ciel t'aidera. Nous sommes prêts à nous remettre en cause, mais tous, oeuvrons pour arriver à développer la volaille française. »

 

Malgré les problèmes de compétitivité face à d'autres pays européens, l'Allemagne en particulier, les industriels ne veulent visiblement pas jeter l'éponge. « A la FIA, on a décidé de ne pas s'arrêter parce qu'il y a des éléments positifs. Depuis trois ans, on a quand même une production qui redémarre. Nous avons des jeunes qui investissent. Nous avons relancé des plans de rénovation. On voit bien qu'il y a une démarche en train de naître. Nous regagnons depuis deux ou trois ans sur le grand export. »

 

La filière a, entre les mains, les résultats d'un audit ainsi que les propositions des groupes de travail mis en place dans le cadre du plan sectoriel stratégique sur les viandes blanches. « L'intérêt de ce travail est qu'il est partagé, reconnaît Véronique Borzeix, du ministère de l'Agriculture. La plupart de vos propositions, vous devez les faire vivre dans les interprofessions. L'Etat sera là si vous avez besoin d'appui. Mais l'essentiel du travail est pour vous. »

 

Sans commenter les déboires du groupe Doux, Gilles Huttepain a fait une mise au point sur les restitutions : « L'ensemble de la FIA est pour le maintien des restitutions à l'exportation. Il a été dit que telle entreprise a touché tant de millions d'euros, telle autre tant de millions. Oui, c'est une nécessité et nous approuvons cette démarche. Est-ce qu'elle doit être à terme versée directement aux entreprises ? Peut-être pas. Peut-être qu'il y a d'autres moyens à trouver car je comprends que cela pose question vis-à-vis du grand public, mais je pense que ces aides sont nécessaires. »

 

E.R.


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