La Fédération générale agroalimentaire (FGA-CFDT) se dit « très inquiète pour le devenir des 1.300 emplois de Terra-Lacta, notamment sur la partie lait de consommation qui ne semble pas intéresser Bongrain ».
« Après l'annonce de la reprise de Terra-Lacta par le groupe Bongrain, la FGA-CFDT est très inquiète pour le devenir des 1.300 emplois de Terra-Lacta, notamment sur la partie lait de consommation qui ne semble pas intéresser Bongrain », écrit le syndicat dans un communiqué du 31 octobre 2012.
La FGA-CFDT se dit « vigilante sur le devenir des trois sites de cette filiale des Volcans d'Auvergne (SLVA) qui ne sont pas repris par le Groupe Bongrain ».
« Depuis de nombreuses années, la FGA-CFDT ne cesse d'alerter la direction et les présidents sur la gestion du Groupe Glac (Terra-Lacta). En 2010, elle a assisté à une étude et à des rencontres avec Eurial pour une fusion qui ne s'est pas concrétisée. »
Selon la FGA-CFDT, « des synergies existaient entre les deux entreprises : deux structures coopératives ; un volet social à développer avec la possibilité d'investissement et de création d'emplois. »
« Depuis le 5 octobre 2012, Bongrain a été choisi pour un “adossement” à Terra-Lacta, au prétexte que les garanties financières étaient plus solides que celles d'Eurial. »
« Dans une période de forte hausse de chômage en France, la FGA-CFDT considère qu'il est de la responsabilité sociale de Bongrain de maintenir tous les emplois de Terra-Lacta, y compris ceux des sites de production de lait UHT. »
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