Publié le vendredi 05 septembre 2014 - 13h28
Le propriétaire avait planté ses vignes sur un chemin rural appartenant à la commune. Ayant échoué à démontrer qu'il s'agissait d'un chemin d'exploitation, il a tenté d'en nier l'existence. En vain.
L'histoire – A Saint-Magloire, les terres étaient favorables à la viticulture. Albert avait acquis les parcelles 470, 472, 475, 476 et 477 pour y planter des vignes. Le maire lui fit un jour sommation d'arracher les plantations sur la parcelle 475 qui comprenait, disait-il, un chemin rural, domaine privé de la commune. Pour contrer la collectivité...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Le commentaire d'article est réservé aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres