La FNSEA et la Fédération nationale ovine (FNO) ont annoncé le mercredi 15 décembre 2010 dans un communiqué qu'elles se retiraient de tous les groupes de consultation nationaux concernant l'ours et le loup.
Les deux syndicats estiment que ces groupes sont « uniquement destinés à développer les populations de grands prédateurs. Nous ne reviendrons que sous condition d'un engagement de l'Etat de renoncer aux lâchers et de réguler efficacement les populations en place », indiquent-ils.
Cette décision a été prise après le constat que « malgré tous les efforts entrepris par les éleveurs pour protéger les troupeaux, les dégâts ne cessent d'augmenter et les bêtes de souffrir ».