Les salades Bonduelle vendues au rayon frais et contenant du poulet n'auront bientôt plus que des morceaux français dans leurs recettes. L'industriel français spécialiste des légumes l'a promis le 22 septembre. Ainsi, il étend son partenariat avec le porc français à l'Association pour la promotion de la volaille française (APVF).
Pour trouver les 500 tonnes de poulets français nécessaires à la préparation des trois salades concernées, Bonduelle Fresh Europe a dû changer de fournisseur. Un changement qui coûte cher à l'industriel, mais qui lui garantit de « maîtriser la qualité des approvisionnements ». Car Bonduelle entend avoir un regard sur l'alimentation, les conditions d'élevage, le transport, l'abattage...
Ces salades seront vendues avec un logo Volaille française, alors qu'il n'est encore pas obligatoire sur les produits transformés.
Voila quelqu'un qui a compris
mercredi 23 septembre 2015 - 22h14
Bonduelle a compris l'avenir qui se dessine,il va dans le bon sens. Mais ne révons pas trop vite, ceux qui profitent du systéme actuel vont tout faire pour qu'il dure le plus longtemps possible et Bonduelle est du nombre. N'oublions pas qu'ils sont en position de force et qu'ils ont l'aide de nos dirigeants. Un logo volaille Française alors que ce n'est pas encore obligatoire pour les produits transformés, c'est très bien pour le consommateur d'étre le premier pour le faire, mais comment trouver 500 tonnes de poulets de qualité dans un temps si court.... Mais pour l'instant il ne s'agit que de la maitrise de la qualité des approvisionnement, pas des poulets... Pourquoi lui y arriverait il et pas les concurrents ? Pourquoi nos dirigeants ne se pressent t'ils pas pour rendre obligatoire rapidement ce logo sur les produits transformés ? Bonduelle entend avoir un regard sur l'alimentation, les conditions d'élevage, le transport, l'abattage..... Si c'est pour de la qualité, réelle avec de la traçabilité sur le produit, c'est parfait.... Mais pour l'instant la qualité a un coup et le produit revient plus cher. Ne pas oublier qu'il est la pour faire de l'argent. Le prix rémunérateur dans la durée on ne le voit pas encore pour l'éleveur. Actuellement tout est fait pour appater les consommateurs et que les producteurs ne s'attaquent pas à son outil de travail....