« La France n'est pas prête à sacrifier la politique de croissance pour la Pac », a déclaré François Hollande devant le Parlement européen le 5 février 2013 à Strasbourg. Pour la première fois, la France renonce officiellement à gagner sur tous les fronts et à maintenir à la fois les budgets de la croissance, de l'agriculture et des régions. Le chef de l'Etat s'est d'abord posé en défenseur de la croissance et de l'Europe solidaire, qui « doivent être les priorités de ce budget », a-t-il précisé en conférence de presse, à l'issue de son discours.
S'il a déclaré être « prêt à accepter une diminution des aides directes » agricoles, il a toutefois posé une condition : que le deuxième pilier de la Pac, consacré au développement rural, « puisse permettre à toutes les agricultures d'être soutenues par l'UE ». Une telle position pourrait faciliter un accord entre les vingt-sept les 7 et 8 février 2013 sur le budget global de l'UE 2014-2020, mais peut-être au prix du soutien aux agriculteurs.
Le président de la République s'est aussi prononcé en faveur du verdissement des aides et de leur plafonnement. Enfin, il s'est dit « conscient que, aujourd'hui, ce sont les productions animales qu'il convient de favoriser par rapport aux productions végétales ». Autant d'affirmations qui laissent présager des négociations franco-françaises houleuses quant à la mise en œuvre de la réforme dans l'Hexagone.
laplanque
jeudi 07 février 2013 - 09h26
HOLLANDE TOUTE PERSONNE BIEN ORDONNE COMMENCE PART SOI MEME ! BAISSE TON SALAIRE ET TOUS LES AVANTAGES QUE TU ABUSES PAR TON RANG SUPRIME TOUS LES AVANTAGES FAIENT A TES POTS ARRETE DE JETTER L'ARGENT DU CONTRIBUABLES ET SURTOUT PENSER QUAND CA T'ARRIVE A CEUX QUI BOSSENT TOUT TRAVAIL MERITE SALAIRE DIGNE DE CE NOM TROP DE GENS TOUCHEENT DES PAYENT INJUSTIFEES crocodile40