Une vingtaine d'éleveurs ovins de la Fédération nationale ovine (FNO) ont manifesté mardi après-midi dans les allées du Salon de l'agriculture à Paris pour dénoncer leurs difficultés à faire face à la prédation. Ils portaient un brassard noir en signe de deuil pour la perte de 6.000 brebis en 2013.
« Le loup coûte 15 millions d'euros au contribuable, a lancé Serge Préveraud, le président de la FNO à la foule. Vous ne pourrez bientôt plus vous promener dans les forêts. Le loup est en plaine à 150 km de Paris dans l'Aube. »
Sur le parcours de la manifestation, les avis des visiteurs étaient partagés. Pour certains, il faut un espace de vie pour le loup indépendant de celui des moutons et c'est de la responsabilité du gouvernement d'organiser les territoires en conséquence. Alors que d'autres plaignent le prédateur.
Afin d'éclairer les citadins, les manifestants distribuaient un tract sur les « dix vérités à rétablir sur le loup ». Parmi elles, ils affirment que le loup n'est plus une espèce rare et menacée puisqu'il y en aurait 350.000 dans le monde.
« En tout cas, s'il sévit sur mon troupeau, et c'est fortement probable puisqu'il a attaqué des troupeaux à 20 km de chez moi, je serai contraint d'arrêter l'élevage sur mon exploitation, indique Bertrand Patenôtre, un manifestant de l'Aube. Il sera impossible de mettre en place des moyens de protection ».
les loups se rabattront sur les gosses
jeudi 27 février 2014 - 22h42
mais oui, tout est prévu. Voici ce que dit William Aiken, l’un des penseurs principaux de ce courant de pensée qui sert de fil conducteur au livre : « Une mortalité humaine massive serait une bonne chose. Il est de notre devoir de la provoquer. C’est le devoir de notre espèce, vis-à-vis de notre milieu, d’éliminer 90% de nos effectifs ». en savoir plus dans : http://leloupdanslehautdiois.blogspot.fr/2013/04/le-loup-et-les-extremistes.html