Les NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) sont un outil récent qui prend de plus en plus de place dans les exploitations agricoles. « Textos, e-mails et Twitter n'ont que 5.000 jours d'existence », a rappelé mardi Christiane Lambert, lors d'une matinée de réflexion sur « TIC, comment innover en formation » organisée par Vivea (fonds pour la formation des entrepreneurs du vivant).
Pour la présidente de Vivea, l'omniprésence actuelle des TIC (technologies de l'information et de la communication) appelle à réfléchir sur leur impact en temps qu'outil et sujet de formation pour les chefs d'exploitation. D'où l'idée de cette réunion pour déterminer les pistes d'innovation en formation.
Pour les participants, le constat est sans appel. Même si 81 % des agriculteurs se connecteraient régulièrement à internet (sondage BVA), le niveau d'utilisation est extrêmement disparate. La plupart des agriculteurs consomment encore de l'internet et des TIC comme de la télévision, c'est-à-dire sans participer.
D'autres se sont déjà appropriés tous les outils du web 2.0 et sont actifs sur les réseaux sociaux. Entre les deux, se trouvent les agriculteurs qui réalisent déjà des achats sur internet mais hésitent encore à utiliser les réseaux sociaux dans un cadre professionnel.
Etonnement, l'âge de l'exploitant n'influence pas beaucoup son attitude vis-à-vis des réseaux sociaux. Ainsi, les deux agriculteurs invités à la tribune par Vivea, Hervé Pillaud et Rémi Dumery, n'ont pas le profil de jeunes geeks. Pourtant, ils sont très actifs sur Twitter et YouTube qu'ils qualifient de formidables tremplins pour faire la promotion du métier, échanger avec des collègues et s'informer. L'un comme l'autre ont mis Facebook et les forums de côté depuis plusieurs années, leur reprochant d'être parasités par des offres commerciales et des intervenants « parasites ». Mais les deux agriculteurs s'accordent aussi à dire que les réseaux sociaux, s'ils créent du lien entre professionnels, ne remplacent pas les rencontres IRL (In Real Life ou dans la vraie vie).
L'enthousiasme de ces agri-geeks pourrait inciter Vivea à proposer de la formation à distance par internet, plus pratique et plus compatible avec l'emploi du temps des agriculteurs. Pourtant, pas question pour l'instant de se lancer tête baissée dans le e-learning (formation par internet) car de nombreux agriculteurs sont encore loin de maîtriser toutes les subtilités des TIC et risquent de se sentir exclus de fait de ces formations.
Pour le moment, Vivea propose trois pistes d'innovation : réaliser une expérimentation de formation intégrant le lien entre TIC et formation, former les agriculteurs à l'usage intelligent de l'information et enfin participer à une communauté d'échanges de pratiques innovantes. Avis aux volontaires !
NE REVONS PAS DES NTIC...
mardi 24 septembre 2013 - 20h20
QUAND JE VOIS DES DIZAINES POUR NE PAS DIRE DES CENTAINES DE PAYSANS INCAPABLES DE SE PRENDRE EN CHARGE... MME LAMBERT OUBLIE QU EN 1960 SUR DES CULTURES NOUVELLES, ON SAVAIT LIRE DES DOCUMENTS ET RETENIR L ESSENTIEL...ON PRENAIT LE TEMPS D OBSERVER LES PLANTES ET LES PARASITES ET SANS ALLER A L ECOLE ON RECONNAISSAIT UNE MELIGETHE ET CHARANCON..LA CARIE DU BLE ET LE CHARBON...LE MILDIOU ET LE SCLEROTINIA DU TOURNESOL (variétés de RUSSIE) etc...CYLINDROSPORIOSE ET ALTERNARIA...NOS EXPLOITANTS NE SAVENT MEME PLUS SE PRENDRE EN CHARGE POUR DECIDER D ACHETER LES PRODUITS ET DE LES APPLIQUER AUX BONS STADES...ON ME DIT QU IL FAUT LEUR DONNER DES SUBVENTIONS ??? DANS QUEL PAYS SOMMES NOUS QUI CRÉVE D AIDES ET DE SUBVENTIONNITES POURRIE PAR LA POLITICAILLE QUI NOUS GOUVERNE...NOTRE PAYS S ENDORRE...11 JOURS POUR DISTRIBUER UNE LETTRE A 767 KM...LE TEMPS DES DILIGENCES POURTANT MOTORISÉS...ALLEZ VOIR LA BALANCE DES PAIEMENTS ENTRE L ALLEMAGNE ET NOTRE PAYS...UNE HONTE...