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Centres d'impôts incendiés

Le premier syndicat des impôts alerte Manuel Valls

Publié le vendredi 03 octobre 2014 - 17h32

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Le premier syndicat des impôts, Solidaires-Finances publiques, a demandé une audience à Manuel Valls, « de toute urgence », en se disant « inquiet » et « révolté » après les récents incendies et dégradations dans plusieurs centres d'impôts, a-t-il indiqué vendredi.

 

Dans une lettre datée du 1er octobre 2014 consultée par l'AFP, le syndicat rappelle que les centres des finances publiques de Morlaix (Finistère), Questembert (Morbihan) et Albertville (Savoie) « ont été incendiés » et que ceux de Balma (Haute-Garonne) et de Sarrebourg (Moselle) ont « fait l'objet d'agressions » sous la forme « de dépôt de tas de fumier ».

 

« Les agents des finances publiques sont particulièrement inquiets et révoltés d'être la cible de ces actes inqualifiables et intolérables », écrit-il.

 

Le syndicat demande « d'identifier et punir les responsables de ces actes », « de faire de la prévention de ces actes un enjeu ». Il souhaite aussi « un discours différent sur les finances publiques et les agents afin de montrer l'utilité sociale et économique de l'action publique et de ses serviteurs que sont les fonctionnaires ».

 

Interrogé par l'AFP, Vincent Drezet, secrétaire général du syndicat, évoque « un climat absolument délétère » dans les centres d'impôts, avec « des agressions verbales, voire physiques, qui se multiplient » : « le populisme ambiant à tendance à inciter au passage à l'acte ».

 


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Les commentaires de nos abonnés (2)
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populisme ambiant

lundi 06 octobre 2014 - 12h34

Il ne manque pas d'air, ce secrétaire général en parlant de "populisme ambiant". Parce qu'il trouve tout à fait normal que 57% de la production nationale soit confisquée par l’État, que l'on travaille en France du 1er janvier à fin juillet, uniquement pour l’État? Au bout d'un moment, nous sommes tout à fait à même de demander des comptes. Cela se traduit sur les symboles de l’État mais ce n'est pas nouveau: toutes les révoltes et révolutions ont commencé comme ça. Au lieu de jouer les indignés, il serait peut être bon qu'ils s'interrogent sur les raisons de ces actes.

Titre

lundi 06 octobre 2014 - 09h32

Ils n'ont qu'à changer de métier. Mais c'est vrai que personne ne les aime.
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