Publié le vendredi 08 juin 2012 - 09h59
Le fermier n'a pas pu exercer son droit de préemption, car la vente des terres qu'il exploitait s'est faite au profit du neveu du bailleur, déjà installé sur un domaine voisin.
L'histoire – Célibataire sans enfant, Lucien redoutait qu'au moment de son décès, ses cinquante hectares de bonne terre soient dispersés ou mis entre les mains de gens incompétents. Sa sœur était décédée depuis dix ans, laissant un fils, René, déjà installé comme fermier sur un domaine voisin. C'est à lui que Lucien décida de vendre...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Le commentaire d'article est réservé aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres