Publié le vendredi 23 novembre 2007 - 16h15
Parce qu’il n’y a pas eu tromperie, l’éleveur n’a pas eu à rembourser les frais de pension de l’acquéreur de la jument.
Joseph élève des chevaux. En tant qu’agriculteur, il n’est pas dresseur, ni spécialiste de l’équitation, mais seulement au fait des qualités de ses produits. Une jument de deux ans est remarquée par Yves, dresseur de chevaux destinés aux concours hippiques. L’ayant aperçue dans le pâturage, il s’est adressé à Joseph pour la voir...
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