Publié le vendredi 24 avril 2015 - 13h20
Le preneur souhaitant récupérer les terres mises en vente pouvait faire échec au pacte de préférence accordé par le propriétaire à son ami d'enfance. Mais il n'a pas exercé valablement son droit de préemption.
L'histoire – Cette chronique traite du pacte de préférence. Autant l'expliquer tout de suite : ce n'est pas une promesse de vente mais l'engagement de donner la préférence à un tiers choisi par un acte notarié. Si le propriétaire se décide à vendre, c'est le bénéficiaire du pacte qui fait échec aux autres candidats acquéreurs, sauf...
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