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Tendances céréales

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Prix stables

Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 214,25 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 188,75 €/t (- 0,25 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2014 valait 214,25 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 188,75 €/t (- 0,25 €/t).   Les cours des céréales européennes sont restés stables, mardi, au lendemain d'une forte hausse provoquée par les tensions en Ukraine.   Le marché européen s'est stabilisé dans le sillage de la bourse de Chicago, où les prix du blé « n'ont pas réussi à franchir le seuil technique de résistance de 695 cents le boisseau, malgré les tensions politiques entre l'Ukraine et la Russie », analyse Arnaud Saulais, de Starsupply Renewables.   Les prix mondiaux restent soutenus par le risque météo, avec des « températures négatives » sur l'Oklahoma et le nord du Texas, et un « déficit hydrique persistant sur une grande partie de l'Europe », rappelle Agritel.   Sur le plan commercial, la Corée du Sud a acheté 193.000 tonnes de maïs.  ...

mardi 15 avril 2014 - 18h12

Poussée du blé

Le prix du blé a fortement progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2014 valait 213,50 €/t (+ 3,75 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 188,75 €/t (+ 1,75 €/t).  Le prix du blé a fortement progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2014 valait 213,50 €/t (+ 3,75 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 188,75 €/t (+ 1,75 €/t).   Les cours des céréales européennes ont évolué en nette hausse, lundi, en raison d'inquiétudes ravivées au sujet de l'Ukraine, menacée d'éclatement. « Les bruits de botte font peur. Le marché se met en protection », a résumé pour l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société Plantureux et Associés, alors que les insurgés armés pro-russes continuaient lundi de tenir tête au gouvernement pro-européen dans l'est de l'Ukraine.   « Les craintes de dysfonctionnements dans les chargements et surtout sur le potentiel de récolte 2014 (refont) surface », souligne Agritel, qui avait déjà averti vendredi que les problèmes de financement rencontrés par les agriculteurs ukrainiens risquaient de déboucher sur « une baisse de la production 2014, tant en maïs qu'en blé ». L'Ukraine est le 3e exportateur mondial de maïs, le 6e de blé.   Sur le plan commercial, le blé français a une nouvelle fois été exclu du dernier appel d'offre égyptien, portant sur 230.000 tonnes de blé, et remporté par la Russie, la Roumanie et l'Ukraine. En revanche, les 450.000 tonnes de blé achetées par l'Algérie en fin de semaine dernière sont « sans doute français(es) », selon Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage.   En France, sur le marché physique, les prix du blé et du maïs étaient également en hausse, lundi à la mi-journée.   « Le maïs français s'échange via le Rhin, mais n'intéresse pas preneur au-delà des Pyrénées », analyse l'AGPM dans sa note économique du lundi. « Au-delà de la concurrence à l'export, le débouché alimentation animale marque le pas. La consommation de céréales par les fabricants d'aliment du bétail français est en retrait, en corrélation avec les baisses des volumes de production des filières dindes et porcs. »    Les prix des frets maritimes ont poursuivi leur déclin la semaine dernière, en raison d'une demande insuffisante. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 11 avril, à 1.002 points, son plus bas niveau depuis huit mois, contre 1.205 points une semaine auparavant.   Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a terminé à 782 points vendredi, son plus bas niveau depuis dix mois, contre 822 points une semaine auparavant. « Les volumes de céréales en provenance de l'Amérique du Sud se sont redressés mais restent à des niveaux très faibles », ont détaillé les analystes du courtier maritime Braemar Seascope.  ...

lundi 14 avril 2014 - 18h07

Blé et maïs plutôt en baisse

Sur Euronext, vendredi à l'approche de la clôture, la tonne de blé gagnait 0,50 euro à 208,75 €, mais baissait sur les échéances de novembre à mars. Le maïs perdait, lui, 1,25 euro sur l'échéance de juin à 187 euros.  Les cours des céréales européennes étaient plutôt en baisse vendredi, dans le sillage du blé américain qui est pénalisé par la perspective de pluies. Sur Euronext, à l'approche de la clôture, la tonne de blé gagnait 0,50 euro à 208,75 €, mais baissait sur les échéances de novembre à mars. Le maïs perdait, lui, 1,25 euro sur l'échéance de juin à 187 euros.   « Le marché semble toujours évoluer au gré du « weather market » avec quelques précipitations annoncées pour la fin du week-end, en particulier sur la Corn Belt et sur l'Est du Kansas », commente le cabinet Agritel.   Ce dernier a estimé vendredi à 17,6 % la baisse de la récolte de maïs 2014 en Ukraine comparé à 2013. « C'est une conséquence directe de la crise que le pays traverse, estime Michel Portier d'Agritel dans un communiqué. Les producteurs locaux doivent faire face à une dévaluation de la grivna, devise locale, qui a perdu 50 % de sa valeur depuis 3 mois et à des restrictions d'accès aux crédits. Ces difficultés financières notables ajoutées à des marges décevantes sur la dernière campagne contraignent les producteurs à privilégier des cultures à bas coûts. »   En Ukraine, la sole de maïs est ainsi en recul pour la première fois depuis 5 ans. A cela s'ajoutent les risques climatiques : « alors que les semis de maïs débutent à peine sur les bords de la mer Noire, le déficit hydrique est de 50 % sur les derniers mois », ajoute Agritel.   Du côté demande, l'Égypte a lancé un appel d'offre pour 55.000 tonnes de blé tendre devant être livré début mai. « L'origine française demeure hors course du fait des spécifications techniques imposées cette année », précise Agritel.   En France, sur le marché physique, les prix du blé et du maïs étaient en baisse également.    ...

vendredi 11 avril 2014 - 18h08

Blé en baisse

A l'approche de la clôture jeudi, la tonne de blé perdait ainsi 1 euros/t sur l'échéance de mai 2014 à 208 €/t. Le maïs perdait également 1 €/t sur l'échéance de juin à 187,75 €/t.  Les cours des céréales européennes étaient en baisse jeudi, alors que les stocks mondiaux et français de blé ont été revus en hausse, signe d'une offre abondante sur le marché.   A l'approche de la clôture, la tonne de blé perdait ainsi 1 euros/t sur l'échéance de mai 2014 à 208 €/t. Le maïs perdait également 1 €/t sur l'échéance de juin à 187,75 €/t.   Le stock de blé français pour la fin de campagne 2013/2014 a été revu en hausse de 100.000 tonnes par FranceAgriMer mercredi. Au niveau mondial, les réserves de blé devraient s'établir à près de 187 millions de tonnes (Mt), selon le dernier rapport du ministère américain de l'Agriculture (USDA), qui a rajouté 3 Mt à ses estimations précédentes, en raison d'une baisse de la consommation chinoise. Les Etats-Unis ont aussi relevé leurs projections pour leur propre stock de 700.000 tonnes, à près de 16 Mt, à cause d'une baisse de l'utilisation pour l'alimentation animale. L'offre est donc abondante sur le marché européen, d'autant qu'il n'y a pour l'instant « aucun problème climatique. Les ports sont bien chargés en blé. Donc le marché s'effrite », analyse Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés, repris dans l'AFP.   Les prix du blé restent toutefois soutenus par « les prévisions météo sèches et ensoleillées en France jusqu'à la fin de semaine prochaine », souligne Arnaud Saulais de Starsupply Renewables.   Le blé français devrait aussi bénéficier d'un appel d'offre de l'Algérie.   Au niveau mondial, « la situation devra être observée sur les huit principaux pays exportateurs, avec en premier lieu la situation sur la mer Noire et l'impact du déficit hydrique sur l'hémisphère Nord », estime Agritel dans une note.   En maïs, les stocks mondiaux ont été « révisés à la baisse mais restent confortables. Toutefois, la situation en Ukraine et les retards de semis aux Etats-Unis resteront à surveiller », développe Agritel.      ...

jeudi 10 avril 2014 - 18h25

Toujours en hausse

A l'approche de la clôture sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 0,75 euro/tonne à 209 €/t et le maïs échéance juin augmentait de 1,50 €/t à 187,75 €/t.  Les cours des céréales européennes étaient en hausse mercredi, avant la publication d'un rapport du département américain à l'Agriculture sur l'état de l'offre et de la demande mondiale en céréales, qui pourrait revoir à la baisse les stocks américains de maïs et de soja aux Etats-Unis.   A l'approche de la clôture sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 0,75 euro/tonne à 209 €/t et le maïs échéance juin augmentait de 1,50 €/t à 187,75 €/t.   Les inquiétudes climatiques persistent dans les régions productrices de blé. « Le déficit hydrique demeure sur l'Europe, notamment sur la mer Noire et les pluies sur la Wheat Belt aux États-Unis sont insuffisantes pour lever les craintes du stress hydrique», souligne Agritel.   L'USDA a publié mardi un rapport sur la progression des semis inquiétant pour la future récolte de blé américaine: « il n'y a plus que 35 % des blés qui sont dans des conditions bonnes à excellentes, contre 62 % en novembre et 36 % l'année dernière à pareille époque. Ce chiffre tombe à 29 % dans le Kansas (30 % l'année dernière), le plus bas en 12 ans», relève Damien Vercambre de la société Inter-Courtage cité par l'AFP.   La situation en Ukraine continue également d'inquiéter le marché.   Sur la scène internationale, l'Algérie a lancé un appel d'offres pour du blé à livrer en mai. La France est en général privilégiée pour ce genre d'achats.        ...

mercredi 09 avril 2014 - 18h46

En hausse

Peu avant la clôture mardi sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 1,25 euro/tonne à 208,50 €/t, et le maïs échéance juin était en hausse de 1,75 €/t à 186,25 €/t.    Dans l'attente de la publication mercredi du rapport mensuel du ministère américain de l'Agriculture sur l'offre et la demande mondiales de blé et de maïs, les cours des céréales étaient en légère hausse mardi.   Peu avant la clôture sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 1,25 euro/tonne à 208,50 €/t, et le maïs échéance juin était en hausse de 1,75 €/t à 186,25 €/t.   En effet, cette publication de l'USDA devrait annoncer une réduction des stocks américains de soja et de maïs et une hausse de ceux de blé.   Pourtant le manque de précipitations en Europe et aux Etats-Unis continue de soutenir le marché.   La situation en Ukraine pèse également, ce pays étant devenu en quelques années sixième exportateur mondial de blé et troisième exportateur de maïs après les Etats-Unis et le Brésil.   Fin janvier, l'Égypte, qui achète du blé uniquement par appels d'offres publics, a brusquement durci son cahier des charges. Elle exige désormais un taux d'humidité maximum du blé de 13 %, une condition remplie par seulement 40 % du blé français, selon FranceAgriMer.      ...

mardi 08 avril 2014 - 18h47

A la hausse

A l'approche de la clôture lundi sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 0,50 €/tonne à 207 €/t, et le maïs échéance juin était en hausse de 0,50 €/t à 184,75 €/t.  A l'approche de la clôture lundi sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 0,50 €/tonne à 207 €/t, et le maïs échéance juin était en hausse de 0,50 €/t à 184,75 €/t.   Malgré les tensions militaires entre les deux pays, la Russie et l'Ukraine continuent d'expédier d'importants chargements de céréales principalement à destination de l'Egypte note Agritel. Ainsi plus de 500.000 tonnes de maïs sont parties d'Ukraine la semaine dernière et plus de 430.000 tonnes de blé ont quitté la Russie.   Le cabinet Inter Courtage relève pour sa part un appel d'offres de la Libye pour l'achat de 30.000 t de blé, qui peut concerner la Russie mais aussi la France, l'Allemagne, ou les riverains de la mer Noire (Kazakhstan, Bulgarie, Roumanie) avec chargement le 25 avril. Et au Maroc, les meuniers ont demandé au gouvernement de prolonger la période d'importation de blé à droits réduits. Elle devait normalement s'arrêter à la fin du mois.   Face à la demande mondiale en blé, annonce le même cabinet, la surface de blé pourrait progresser en Argentine de 10 % (à 4 millions d'ha) du fait des prix élevés.   Mais en Europe, les producteurs attendent toujours des pluies sérieuses sur la moitié nord, celles annoncées pour les prochains jours risquant d'être insuffisantes sur les sols secs. Notamment pour les maïs dont les semis ont commencé.    ...

lundi 07 avril 2014 - 18h42

En baisse

Les prix des céréales ont reculé, vendredi sur Euronext. En fin d'après-midi, le contrat blé mai 2014 valait 205,50 €/t (- 1,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,25 €/t (- 0,50 €/t).  Les prix des céréales ont reculé, vendredi sur Euronext. En fin d'après-midi, le contrat blé mai 2014 valait 205,50 €/t (- 1,25 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,25 €/t (- 0,50 €/t).   Les cours des céréales européennes ont accusé un léger repli, vendredi, dans un marché attentiste qui garde l'œil sur la météo. Les pluies arrivées sur la wheat belt aux Etats-Unis ont soulagé la pression sur le blé et rassuré les opérateurs mais elles sont restées encore trop faibles sur le Texas et le Kansas, deux Etats majeurs, estime Agritel.   En France, la météo exceptionnellement clémente accompagnée de températures anormalement élevées commence à préoccuper les producteurs sans encore affoler le marché, explique Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux. « C'est à la fois rassurant pour les récoltes qui arriveront au bon moment et préoccupant à ce stade en raison du manque d'eau : le blé et surtout l'orge auraient besoin d'être arrosés et la terre est dure pour les semis de maïs », note-t-il. « Pas de quoi affoler le marché, mais la situation peut devenir problématique s'il n'y a pas de bonnes pluies dans les deux à trois semaines », estime-t-il.   Offre et demande agricole indique que Bruxelles a délivré jeudi des certificats à l'export pour près de 597.000 tonnes de blé, « portant le total délivré à ce jour à 23,3 millions de tonnes, contre 15,6 millions l'an passé à date ». Sur ce total, la part de la France atteint 7,2 millions de tonnes, soit 31 % du total.  ...

vendredi 04 avril 2014 - 17h07



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