Tendances céréales
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Blé en recul
Les cours du blé reculaient mardi. Sur Euronext, l'échéance mai 2008 était en retrait de 1,50 €/t (clôture à 281,50 €/t lundi), en séance vers 18 h, novembre 2008 était en baisse de 3,25 €/t (clôture à 232,25 €/t lundi).
La tendance reste partagée entre une situation très tendue sur la fin de la campagne actuelle, et des perspectives favorables pour la récolte 2008 dans le monde.
Actuellement, la Jordanie, la Turquie et le Maroc sont à la recherche d'importantes quantités de blé. Ils pourraient être rejoints prochainement par l'Egypte.
Le principal obstacle à l'exportation pour le blé français demeure la trop grande fermeté de l'euro. Celui-ci avait atteint un pic historique la veille à 1,5905 dollar.
L'évolution des cours est également marquée par les soubresauts des marchés financiers sur fond de risque de récession aux Etats-Unis. Ceci influence le comportement des fonds spéculatifs sur les marchés à terme. 
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mardi 18 mars 2008 - 18h25
Le blé résiste
Le prix du blé résiste à la baisse généralisée des marchés en affichant 284 €/t rendu Rouen ce lundi. Les perspectives d'activité pour les blés européens sont importantes alors que des barrières à l'exportation sont posées par la Russie, l'Ukraine et le Kazakhstan.
En maïs, l'activité est encore très faible pour les origines européennes. Les maïs argentin et brésilien ont actuellement un net avantage comparatif.
L'orge se maintient à 214 €/t livrée Rouen, les prix devraient évoluer lorsque sera révélé le résultat des appels d'offre de la Syrie et de la Jordanie. ...
lundi 17 mars 2008 - 18h10
Bien orienté
A 480 $ la tonne, le blé américain est résolument devenu trop cher vendredi. Différents acheteurs ont été amenés à résilier leurs commandes.
Le blé français semble trouver son équilibre autour de 280 €/t livré Rouen. Les opérateurs sont confiants sur une reprise de l'export sur pays tiers et ce, malgré la décision du Kazakhstan de ne pas taxer son blé.
L'orge et le maïs sont plutôt orientés à la baisse du fait du niveau élevé d'importations d'origines brésilienne et argentine vers L'Europe. ...
vendredi 14 mars 2008 - 17h03
Stabilité
Le prix du blé est resté stable jeudi sur le marché français. D'une manière générale, les marchés devraient être actifs à l'export vers pays tiers avec des besoins à couvrir du côté des pays du Moyen-orient et du Maghreb.
Les commandes en orge passées par la Syrie et la Jordanie auront eu pour effet de tirer les prix vers le haut. Le prix est dissuasif côté acheteurs, ce qui explique le peu d'activité sur ce marché.
Le maïs européen redevient compétitif jeudi. Les marchés connaissent un léger mieux après de mauvaises journées liées aux achats espagnols pour les origines brésiliennes et argentines. ...
jeudi 13 mars 2008 - 18h57
Léger fléchissement en blé
Après une forte hausse mardi, le blé perdait mercredi de 1 à 2,25 € pour la récolte 2008 et 0,5 € pour la campagne actuelle sur Euronext. Le rapport de l'USDA qui a soutenu le blé américain, n'a eu aucun effet sur les marchés européens.
Le marché de l'orge fourragère est toujours ferme et soutenu par les pays importateurs que sont la Syrie et la Jordanie.
Le marché du maïs affiche des prix porteurs, mais les échanges sont quasi inexistants au sein de l'Union Européenne, en raison de fortes commandes passées par l'Espagne, au Brésil et en Argentine. ...
mercredi 12 mars 2008 - 19h13
Blé ferme
Le prix du blé meunier progressait mardi. Sur Euronext, l'échéance mai 2008 gagnait 5,5 €/t (clôture à 277,50 €/t lundi), en séance vers 18 h, novembre 2008 reprenait 8,50 €/t (clôture à 230,75 €/t lundi).
La révision en baisse des prévisions de stocks aux Etats-Unis, dans le rapport publié mardi par l'USDA, soutenait le blé américain en première partie de séance à Chicago.
Sur le marché français, l'orge fourragère conservait une certaine fermeté entretenue par la présence aux achats de la Jordanie et de la Syrie.
En maïs le petit courant de demandes sur le Nord-communautaire constaté la semaine dernière a faibli. Il semble que les acheteurs européens soient en attente des récoltes sud-américaines. ...
mardi 11 mars 2008 - 18h27
Marché prudent
Lundi, le marché français des céréales débutait la semaine sur une note prudente. Les cours du blé perdaient un peu de terrain pour les livraisons sur la prochaine campagne. La tendance était un peu plus ferme sur le rapproché. Les prix du maïs et de l'orge de mouture évoluaient peu.
Sur le marché à lterme, Euronext, le blé échéance mai 2008 était stable (clôture à 278 €/t vendredi), en séance vers 18 h, novembre 2008 reculait de 3 €/t (clôture à 233,75 €/t vendredi).
Les céréales tentent ainsi de résister à la forte de baisse des oléagineux, qui avaient quant à eux beaucoup progresser en février.
Le marché international du blé demeure très tendu sur la fin de la campagne. La prochaine récolte, pour l'instant, s'annonce bonne un peu partout dans le monde.
Les opérateurs étaient par ailleurs dans l'attente de la publication, mardi, du rapport mensuel de l'USDA sur l'offre et la demande mondiales. ...
lundi 10 mars 2008 - 18h30
Peu dévolution
Les cours des céréales évoluaient peu vendredi. Après une semaine stable, le blé meunier, toujours bien situé, terminait toutefois la semaine en léger recul.
Sur Euronext, l'échéance mai 2008 était stable (clôture à 278 €/t jeudi), à l'approche de la fin de la séance, novembre 2008 reculait de 0,25 €/t (clôture à 234 €/t jeudi).
Les perspectives d'exportation de blé européen vers les pays tiers semblent s'améliorer, beaucoup de concurrents étant désormais moins présents. La faiblesse du dollar – l'euro vaut plus de 1,53 $- reste un élément pénalisant. Près de 250.000 tonnes de certificats d'exportation ont toutefois été délivré en une semaine dans l'UE.
Sur le marché international, l'Irak, l'Egypte, le Maroc et la Jordanie, la Tunisie et la Turquie semblent encore avoir des achats à réaliser au cours des prochains mois.
Le maïs et l'orge étaient stables vendredi, après une légère progression des cours observée les jours précédents.
L'orge pourrait bénéficier d'un regain d'intérêt à l'exportation pays tiers, notamment vers la Syrie et la Jordanie, et également l'Arabie Saoudite. L'Ukraine demeure présente à l'exportation.
Le maïs reste la céréales la plus compétitive pour les fabricants d'aliments français. La principale difficulté est l'écoulement de marchandises vers nos voisins européens, face à la concurrence des céréales (maïs et sorgho) importées, en provenance d'Amérique du sud notamment. ...
vendredi 07 mars 2008 - 19h11
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