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Peu d'évolution

Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 197 €/t (+ 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 157,50 €/t (+ 0,75 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 197 €/t (+ 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 157,50 €/t (+ 0,75 €/t).   Les prix des céréales ont légèrement remonté mercredi, dopés par la faiblesse de l'euro et les inquiétudes quant à la situation en Ukraine. « Les opérateurs sont toujours attentifs à l'évolution de la parité euro/dollar et à la dégradation de la situation actuelle dans le conflit entre l'Ukraine et la Russie », explique le cabinet Agritel dans une note.   Sur le marché physique français, blé et orge prenaient 2 €/t à la mi-journée, tandis que le maïs restait stable.  ...

mercredi 21 janvier 2015 - 18h10

En baisse

Le prix des céréales a reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 196,25 €/t (- 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 158,50 €/t (- 1 €/t).  Le prix des céréales a reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 196,25 €/t (- 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 158,50 €/t (- 1 €/t).   Les cours européens des céréales ont fléchi lundi, dans un marché d'autant plus calme que la Bourse de Chicago était fermée à l'occasion du jour férié dédié à Martin Luther King.   « Il n'y a rien de significatif aujourd'hui » mais la décision de la Banque centrale européenne à l'issue de sa prochaine de réunion de politique monétaire, jeudi, est « très attendue », a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés.   Les investisseurs « surveillent également la situation en Ukraine, avec une reprise des combats dans la région de Donestk », précise le cabinet Agritel, même si aucun impact concret sur les exportations n'est à noter pour l'instant. L'Ukraine a exporté jusqu'ici 20 millions de tonnes de céréales issues de la récolte 2014/2015, dont 8,5 Mt de blé, rapporte le cabinet Inter-Courtage.   En Argentine, la récolte de blé touche à sa fin, avec une hausse de 10 % par rapport à l'an dernier, à 11 millions de tonnes, selon la même source.   Depuis le début de la campagne 2014-2015, l'UE a importé 5 Mt de maïs, dont près de 860.000 t entre le 7 et le 13 janvier. « La compétitivité des maïs communautaires (France, Hongrie) est conservée sur le nord de l'UE, mais elle reste challengée par les maïs ukrainiens sur le sud (Espagne, Italie) », analyse l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire.  ...

lundi 19 janvier 2015 - 18h28

Léger rebond

Les prix des céréales ont progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 193,25 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 158,50 €/t (+ 1,50 €/t).  Les prix des céréales ont progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 193,25 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 158,50 €/t (+ 1,50 €/t).   Les cours européens des céréales ont rebondi jeudi, face à la perspective de nouveaux achats de blé de l'Egypte et de l'Algérie, parmi les principaux importateurs mondiaux. Les deux pays ont lancé des appels d'offres pour lesquels les blés européens sont bien placés, notamment les blés français pour l'Egypte, estiment les analystes.   La nouvelle baisse de l'euro face au dollar constitue un atout pour les exportations européennes. L'UE profite également des restrictions sur les exportations décidées par la Russie et l'Ukraine. A Kiev, le gouvernement a « demandé aux exportateurs de se limiter à exporter 200.000 tonnes de blé sur les mois de janvier à février », rapporte le cabinet Offre et Demande Agricole (ODA). « Néanmoins, les opérateurs savent que les exports ukrainiens sur cette période sont traditionnellement faibles », nuance ODA.   En Russie, la circulation des trains de marchandises est bloquée pendant trois jours par la société des chemins de fer russe, en direction des ports de la mer Noire et de la mer d'Azov, indique le cabinet Agritel dans une note. Il s'agit de « freiner au maximum les exportations de céréales et tout particulièrement celles de blé », estime Agritel. Les autorités espèrent ainsi faire baisser les prix du blé à l'intérieur de la Russie, après une forte hausse due à la chute du rouble.   En France, sur le marché physique, le blé gagnait 1,50 €/t à la mi-journée, l'orge 2 €/t et le maïs 1 €/t.  ...

jeudi 15 janvier 2015 - 17h43

Repli du maïs

Le prix du maïs a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2015 valait 159,75 €/t (- 2,50 €/t), le blé même échéance se négociant 194,50 €/t (+ 0,50 €/t).  Le prix du maïs a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2015 valait 159,75 €/t (- 2,50 €/t), le blé même échéance se négociant 194,50 €/t (+ 0,50 €/t).   Le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a légèrement revu à la hausse, lundi, la production mondiale de blé, à 723 millions de tonnes (Mt), grâce à une bonne récolte en Ethiopie. Mais le fait marquant de ce rapport mensuel est surtout la révision à la baisse de la production mondiale de maïs, en raison d'un recul des rendements aux Etats-Unis, le 1er producteur mondial.   L'USDA a aussi revu à la baisse le potentiel d'exportation de blé de la Russie pour 2014/2015, à 20 Mt contre 22 Mt prévu avant la mise en place de restrictions à l'export par Moscou. Par ricochet, les exportations de l'Union européenne et de l'Ukraine devraient être plus importantes. La Géorgie, qui importe entre 700.000 et 800.000 tonnes de blé par an, envisage par exemple de se tourner vers l'Europe et les Etats-Unis, affirme Damien Vercambre (Inter-Courtage).   En France, sur le marché physique, le blé et l'orge gagnaient 1 €/t à la mi-journée, le maïs 0,50 €/t.   En maïs, « les achats reprennent sur le marché intérieur et en direction du nord communautaire, note l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire. Sur l'Espagne, les Ukrainiens maintiennent la pression et restent plus compétitifs que les offres françaises ».  ...

mardi 13 janvier 2015 - 19h14