Pour Orama (Union des grandes cultures), « si le maintien de deux piliers » présents dans la communication de la Commission européenne sur l'avenir de la Pac, « est de nature à conserver une bonne lisibilité à la Pac, l’accent mis dans le premier sur la gestion de l’environnement et sur l’équilibre des territoires ne doit pas faire perdre de vue les enjeux de l’économie agricole ».
Il faut « donner véritablement corps à l’ambition affichée par la Commission de voir l’agriculture européenne contribuer activement à la sécurité alimentaire mondiale », considère Orama.
Selon l'Union des grandes cultures, « la réalité » de la Pac de 2014 dépendra « de facteurs qui restent actuellement dans l’ombre : le niveau et la répartition des enveloppes budgétaires qui seront consacrées à cette politique, l’évolution des instruments de régulation des marchés, notamment ».
Orama veut agir pour que cette réforme « soit propice à une expansion de l’agriculture européenne », la rendant « plus apte à répondre aux préoccupations de tous » en termes d’approvisionnement, de défis environnementaux », propice également à développer « une vie économique et sociale harmonieuse sur les territoires ».
Téléchargez la communication de la Commission européenne et visionnez l'intervention de Dacian Ciolos :
- Pac 2014 : le projet Ciolos cadre les négociations (VIDEO) (18 novembre 2010)
Lire les réactions de toutes les organisations agricoles.
- Pac 2014 : des réactions diverses aux propositions de la Commission (18 novembre 2010)