Publié le mercredi 23 mai 2007 - 16h22
L’assurance risque fiscal permet de couvrir les surcoûts en impôts et charges sociales des exploitants au réel.
En même temps qu’elle accorde des prêts, la banque demande la souscription d’une assurance décès-invalidité (ADI). Si l’emprunteur disparaît, ses emprunts seront remboursés par l’assureur et non par ses héritiers. Toutefois, pour un exploitant au réel, les capitaux correspondant à ce remboursement constituent un profit imposable....
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres