Publié le vendredi 22 mai 2009 - 11h09
Pour obtenir un droit de passage chez son voisin, le gérant d’une société a menti sur l’état d’enclavement de ses terres.
Bruno, retraité des chemins de fer, finissait ses jours paisiblement dans une petite maison. Il l’avait construite il y a longtemps, sur une pièce de terrain de cinq mille mètres carrés donnant sur la voie principale du village, à côté de la coopérative. Au nord, sa parcelle touchait les champs de vignes d’une SCEA (1) . Il n’y avait...
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