Tendances céréales
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Le prix du blé a reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 194 €/t (- 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,75 €/t (+ 0,25 €/t).
Le prix du blé a reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 194 €/t (- 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,75 €/t (+ 0,25 €/t).
Le marché « se demande quelle direction prendre. (...) On est dans le creux », a commenté Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage.
Sur le blé, « les bas niveaux du début de semaine ont été mis à profit pour des achats à bon compte de la part de l'industrie », note Agritel dans une note.
En France, les exportations hors UE ont été revues légèrement à la baisse pour le blé tendre par FranceAgriMer dans son bilan publié mercredi, à 11,5 millions de tonnes (Mt), portant à 2,68 Mt le stock de report.
« La production de blé dur repasse en-dessous de la barre des 2 Mt, en liaison avec un fort recul des superficies », tandis que le maïs repasse en-dessous de la barre des 15 Mt, a également précisé FranceAgriMer.
Sur la scène internationale, Agritel relève « des rumeurs d'achats » par le Brésil de blé américain.
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mercredi 15 janvier 2014 - 18h25
Les prix des céréales ont légèrement reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194,75 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,75 €/t (- 1 €/t).
Les prix des céréales ont légèrement reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194,75 €/t (- 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 172,75 €/t (- 1 €/t).
Les cours européens des céréales se sont stabilisés, mardi, après leur net rebond de la veille. En France, sur le marché de gré à gré, le marché des céréales est resté au point mort. « Il n'y a pas d'éléments particuliers, la monnaie est assez stable. Donc le marché consolide après le rebond d'hier », a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.
La vague de froid attendue cette semaine sur le bassin de la Mer Noire reste à surveiller mais « ne devrait pas, selon les prévisions météorologiques, entraîner de dégâts », analyse Agritel.
La Corée du Sud a acheté 137.000 tonnes de maïs américain initialement destiné à la Chine, qui a rejeté douze cargaisons la semaine dernière, affirmant y avoir découvert des traces d'OGM non autorisés par Pékin.
L'Argentine a révisé à la hausse ses estimations de production de blé, à 9,2 millions de tonnes (Mt), contre 9 Mt auparavant.
« L'Europe poursuit ses importations de maïs (5,6 Mt depuis le début de campagne). Le maïs ukrainien transite à destination de la péninsule ibérique, du Royaume-Uni, de l'Irlande, mais aussi de la France (Bretagne) », souligne l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire.
« Le paradoxe reste le même, les prix français se maintiennent supérieurs aux prix proposés par la concurrence et les chargements originaires de la Mer Noire affluent vers les traditionnels consommateurs de maïs français », poursuit l'AGPM. « La demande en maïs est bien présente, d'autant plus que le maïs affiche un prix inférieur d'une quinzaine d'euros par rapport au blé fourrager (..) Les fabricants d'aliments du bétail espagnols (approvisionnés également par l'Ukraine) sont peu demandeurs, obligeant les opérateurs du Sud-Ouest à se reconcentrer vers l'intérieur. Cependant, cette demande intérieure ne suffira pas à absorber la production nationale ! »
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mardi 14 janvier 2014 - 18h25
Les prix des céréales ont progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194,75 €/t (+ 1,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,75 €/t (+ 2,25 €/t).
Les prix des céréales ont progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 194,75 €/t (+ 1,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 173,75 €/t (+ 2,25 €/t).
Les cours européens du maïs se sont orientés en nette hausse après la publication, vendredi, du rapport mensuel du ministère américain de l'Agriculture (USDA) qui a revu à la baisse les prévisions de stocks de maïs dans le monde. L'USDA estime désormais le stock mondial de maïs à 160,23 millions de tonnes (Mt), contre 162,46 Mt le mois dernier.
Les cours du blé remontaient pour leur part sur Euronext, « à la faveur d'un rebond technique » après leur fort repli de la semaine dernière, selon Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés. De plus, les investisseurs s'inquiètent des conséquences de la vague de froid qui doit s'abattre sur le pourtour de la mer Noire en ce début de semaine, selon Edward de Saint-Denis. « Les températures devraient diminuer jusqu'à -3/-5°C dans toutes les régions. La couverture de neige est encore très limitée », relève Offre et demande agricole dans une note.
La semaine dernière, le blé avait reculé, anticipant notamment le rapport de l'USDA qui a revu à la hausse les stocks mondiaux et la prévision de production mondiale. Les stocks mondiaux ont ainsi été revus à la hausse de plus de 2,5 Mt, à 185,40 Mt, de même que la production mondiale, réévaluée d'un peu plus de 1 Mt, à 712,66 Mt, en raison de hausses de productions attendues en Chine et en Russie.
Sur le front commercial, l'Égypte a acheté 55.000 tonnes de blé d'origine américaine. La Jordanie a lancé un appel d'offre pour 100.000 tonnes de blé. Réponse attendue le 15 janvier, rapporte le cabinet Agritel.
En France, sur le marché de gré à gré, les céréales ont également progressé lundi.
Les prix des transports de matières premières sèches ont dégringolé la semaine dernière, sapés par l'absence des grands acteurs sur le marché et une activité réduite en ce début d'année. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 10 janvier, à 1.512 points - son plus bas niveau depuis la fin novembre - contre 2.036 points une semaine auparavant. Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a terminé à 1.621 points vendredi, soit son minimum depuis la fin novembre, contre 1.750 points une semaine auparavant. ...
lundi 13 janvier 2014 - 18h03
Le marché européen des céréales était de nouveau en légère baisse vendredi à l'image de la Bourse de Chicago et alors qu'un rapport américain devrait réviser à la hausse les stocks mondiaux. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2014 valait 198,75 €/t (- 0,50 €/t), le maïs échéance mars se négociant 172,75 €/t (stable).
Le marché européen des céréales était de nouveau en légère baisse vendredi à l'image de la Bourse de Chicago et alors qu'un rapport américain devrait réviser à la hausse les stocks mondiaux. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2014 valait 198,75 €/t (- 0,50 €/t), le maïs échéance mars se négociant 172,75 €/t (stable).
« Les opérateurs anticipent le rapport du ministère de l'Agriculture américain (USDA), portant sur l'offre et la demande mondiale de céréales et oléagineux », commente Offre et Demande agricole dans une note.
« Les productions de maïs et soja américains devraient être relevées en hausse », ajoute-t-il. « Les bonnes conditions climatiques actuelles globalement sur l'ensemble du globe favorisent les ventes de la part des opérateurs », rappelle par ailleurs le cabinet Agritel.
Par ailleurs, « les marchés sont restés insensibles » au chiffre des exportations européennes de blé pour la première semaine de 2014, remarque Offre et Demande agricole.
La semaine passée, Bruxelles a autorisé l'exportation de près de 718.414 tonnes de blé, dont près de 291.000 tonnes pour la France, ce qui porte le total exporté depuis le début de la campagne (1er juillet) à 15,1 million de tonnes, contre 10,1 Mt en 2012 à la même date. Plusieurs analystes soulignent que ce chiffre de 15 millions de tonnes constitue un « record ».
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vendredi 10 janvier 2014 - 18h33
Le prix des céréales a reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 196,50 €/t (- 3 €/t), le maïs même échéance se négociant 170,75 €/t (- 2 €/t).
Le prix des céréales a reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 196,50 €/t (- 3 €/t), le maïs même échéance se négociant 170,75 €/t (- 2 €/t).
Le marché européen des céréales a reculé, jeudi, dans le sillage de la bourse de Chicago où les cours ont chuté mercredi avant la publication d'un rapport américain sur l'état de l'offre et de la demande mondiale. La journée de mercredi a constitué une « journée noire sur les marchés américains avec un net décrochage des cours, notamment sur le blé », a commenté Agritel.
Le ministère de l'Agriculture américain (USDA) doit publier, vendredi en début de soirée, son rapport mensuel sur l'offre et la demande mondiales de céréales et d'oléagineux.
Les fonds américains ont « (accentué) leurs ventes avant le rapport USDA, et ce malgré la vague de froid qui a sévi sur une partie du pays, et qui pourrait avoir occasionné quelques dégâts », ajoute Agritel.
La baisse des cours à Chicago reposait notamment sur « des exports de blé américain au ralenti, le différend entre la Chine et les États-Unis » sur le maïs et « de bonnes perspectives de (récolte de) soja en Amérique du Sud et la baisse du prix des huiles », explique Offre et demande agricole.
En France, sur le marché de gré à gré, les céréales étaient également en recul. ...
jeudi 09 janvier 2014 - 18h11
Le prix du maïs a reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 173,25 €/t (- 1,75 €/t), le blé même échéance se négociant 200,25 €/t (- 1,50 €/t).
Le prix du maïs a reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2014 valait 173,25 €/t (- 1,75 €/t), le blé même échéance se négociant 200,25 €/t (- 1,50 €/t).
Sur le marché européen, les cours du maïs « restent sous la pression des importations ukrainiennes », a commenté Agritel. « A ce jour, l'Ukraine aurait exporté près de 10 millions de tonnes de maïs sur la scène internationale depuis le début de la campagne, soit environ 50 % de son potentiel export total pour cette année », ajoute le cabinet conseil.
Côté climat, un fort contraste persiste entre l'Europe - où règnent des températures « anormalement douces » - et les Etats-Unis qui subissent une vague de froid « qui devrait s'estomper dans les jours à venir », poursuit Agritel.
Les dégâts potentiels sur le blé américain « sont très difficiles à estimer, du fait de la couverture neigeuse déficiente dans certaines zones », souligne Damien Vercambre, du cabinet Inter-Courtage. « Un chiffre de 5 % a été lancé comme celui des surfaces touchées, mais il semble trop tôt pour quantifier les pertes de production », explique-t-il.
Bruxelles a accordé, jeudi, des certifications d'exportation de blé hors UE pour un total de 998.000 tonnes, a indiqué Agritel. ...
mercredi 08 janvier 2014 - 18h23
Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 202 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 175,25 €/t (inchangé).
Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 202 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 175,25 €/t (inchangé).
« Le marché ne devrait guère évoluer de manière significative avant le rapport de l'USDA de vendredi. Ce dernier devrait réviser globalement à la hausse les stocks de report au niveau mondial, conséquence à la fois d'une déception sur les exports de maïs américains et de conditions climatiques globalement favorables sur l'hémisphère sud », a commenté Agritel.
« Les basses températures qui sévissent sur les États-Unis devraient avoir un impact limité sur les cultures d'hiver de blé avec des températures comprises sur les grandes zones de production entre -20 et -25 degrés et des couvertures neigeuses hétérogènes », ajoute le cabinet conseil.
Selon l'AGPM, « les semis de céréales d'hiver sont en recul de 5 % sur l'Ukraine et de 7 % sur la Russie. Les semis de maïs y sont donc attendus en hausse pour 2014. Cependant, cette augmentation devrait être atténuée par le renforcement du soja dans les assolements, notamment sur l'Ukraine. Les prix du maïs ont, en effet, accusé une baisse des prix plus importante que les oléagineux, pénalisant localement la rentabilité de la céréale », précise encore l'AGPM dans sa note de marché hebdomadaire. ...
mardi 07 janvier 2014 - 18h53
Le prix des céréales a progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 203,50 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 176 €/t (+ 1,25 €/t).
Le prix des céréales a progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2014 valait 203,50 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 176 €/t (+ 1,25 €/t).
Le marché européen des céréales s'est affiché en hausse, lundi, pour sa vraie séance de rentrée, porté par une demande internationale nourrie et la hausse du blé et du maïs à Chicago.
« C'est un jour de rentrée, c'est assez calme. Le marché est soutenu par une bonne demande sur le portuaire et par la fermeté des cours à la Bourse de Chicago » qui progressaient dans les échanges électroniques précédant l'ouverture, a commenté Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.
Les céréales européennes profitent d'un bon courant d'affaires puisque l'Égypte a acheté vendredi 535.000 tonnes de blé, dont 180.000 tonnes françaises, le reste provenant de l'Ukraine et de la Russie, rapporte Agritel. De plus, l'Algérie a acheté en fin de semaine entre 500.000 et 600.000 tonnes de blé, « probablement essentiellement origine France », selon la même source.
Le marché est resté très calme pendant la trêve des confiseurs et attend désormais la publication, vendredi 10 janvier, du rapport mensuel du ministère américain de l'Agriculture (USDA) sur l'offre et la demande mondiales en céréales et oléagineux.
Les prix des transports maritimes ont commencé l'année en ordre dispersé, les frets secs baissant tandis que les transports de pétrole brut poursuivaient leur progression. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 3 janvier, à 2.036 points - son niveau le plus faible en un mois - contre 2.277 points le 24 décembre, dernière séance de 2013 pour le marché des frets.
Les tarifs des frets secs ont dans l'ensemble fini 2013 et débuté 2014 sur une note baissière, teintée de prudence, dans un marché sans grand volume ni entrain en raison des fêtes de fin d'année. Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a terminé à 1.750 points vendredi, contre 1.825 points le 24 décembre.
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lundi 06 janvier 2014 - 18h21
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