Selon les dates de semis et les variétés, la plupart des blés oscillent entre deux nœuds et le début du gonflement.
C'est le moment d'apporter le solde de la fertilisation azotée après une éventuelle révision du potentiel, compte tenu du déficit hydrique et des attaques de maladies (rouille jaune) plus ou moins bien maîtrisées.
Certains outils de pilotage peuvent aider à déterminer la dose, même si le manque de pluie peut parfois perturber leur fonctionnement. Avec le temps sec, les formes solides (ammonitrate et urée) sont à privilégier car elles sont moins sensibles aux pertes par volatilisation, notamment dans les argilo-calcaires. Elles procurent aussi des gains de rendement et de protéines supérieurs à la solution azotée.