Publié le vendredi 03 novembre 2006 - 09h43
Parce qu’il était couvert contre l’incendie, l’exploitant était aussi assuré contre les tempêtes, ouragans ou cyclones.
La ferme de Séraphin valait la peine d’en prendre soin. Sans parler d’une maison d’habitation, elle comprenait des bâtiments d’exploitation importants. Le contrat d’assurance conclu par son père était obsolète. Il y avait lieu de le renouveler, ne serait-ce que pour l’incendie, étant donné l’augmentation des stocks. Séraphin mit...
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