Publié le vendredi 14 mai 2010 - 15h08
Choix variétal adapté, broyage des cannes et intrants réduits sont la clef de la réussite du Gaec Duvernois.
« Nous sommes passés au semis direct il y a cinq ans. Résultat : les marges sont plus intéressantes qu’avant, même pour le maïs », annonce Bertrand Duvernois, polyculteur-éleveur à Taxenne, dans le Jura. Le Gaec a juste pris garde de ne pas implanter de maïs la première année, car ses terres sont en partie argileuses. Le sol risquait...
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