Tendances céréales
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Les cours s'améliorent
Les prix du blé étaient bien orientés, lundi, après la période d'inactivité du marché pendant les fêtes de fin d'année. Les cours rendu Rouen atteignaient 132 €/t (base juillet).
Sur le marché à terme, Euronext, l'échéance mars 2009 gagnait 4,75 €/t (clôture à 138,25 €/t vendredi), mai 2009 progressait de 5,75 €/t (clôture à 139,25 €/t vendredi), à l'approche de la fin de la séance.
La tendance était soutenue par l'orientation des marchés financiers, par un regain d'intérêt des investisseurs pour les matières premières et une demande internationale toujours importante.
La Syrie et le Pakistan sont attendus, dans les prochains jours, pour l'achat d'importantes quantités de blé. La Jordanie a lancé un appel d'offres pour l'achat de 100.000 tonnes.
Les cours du maïs enregistraient également un mouvement de fermeté lundi, tandis que ceux de l'orge fourragère évoluaient peu.
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lundi 05 janvier 2009 - 19h01
Transactions limitées
Le prix des céréales s'appréciait marginalement, vendredi, sur un marché européen (Euronext) déserté par la plupart de ses acteurs habituels.
Sur la scène internationale, l'activité est restée soutenue jusqu'au dernier jour de 2008 avec l'achat par l'Irak, mercredi, de 500.000 tonnes de blé d'origine canadienne et mer Noire.
Vendredi à la mi-journée, sur l'Euronext, le prix du blé s'appréciait marginalement de 0,25 euro à 1 euro sur l'ensemble des positions dans un volume d'échanges peu significatif puisque moins de 160 lots avaient été échangés.
Sur un marché physique, au point mort, les cotations étaient nominales. A Rouen la tonne de blé standard sur le port Rouen était à 137 euros/t, celle d'orge de mouture à 103 euros/t tandis que la tonne de maïs embarquée sur le Rhin était affichée à 115 euros/t.
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vendredi 02 janvier 2009 - 15h54
Léger recul du blé
Le prix du blé reculait légèrement mercredi à la mi-journée sur un marché européen (Euronext) peu animé en ce dernier jour de l'année 2008.
«L'activité commerciale se concentre sur les marchés à terme, les opérations sur le marché physique étant quasiment inexistantes avec la fermeture des organismes stockeurs», a expliqué un opérateur.
«Depuis le début de la semaine nous assistons surtout à des opérations techniques de réajustement de position», a-t-il ajouté.
Les marchés restent soutenus par les conditions sèches qui dominent en Argentine notamment avec des craintes sur les récoltes de soja à venir. En blé, la production est révisée à 9,3 millions de tonnes contre 10 estimées il y a encore quelques semaines et 16,3 l'an passé. Cependant des pluies sont attendues pour les prochains jours ce qui pourrait détendre légèrement les marchés aujourd'hui.
Le début de l'année 2009 verra donc le marché intégrer d'un côté les risques climatiques contrebalancés de l'autre par l'ampleur de la récession économique qui devra allier baisse de la consommation mais également de la production.
Jeudi les marchés de référence, le Chicago Board of Trade et l'Euronext de Londres resteront fermés pour les fêtes du Nouvel An.
Sur la scène internationale, de gros importateurs de blé comme le Pakistan, la Tunisie ou l'Arabie Saoudite sont toujours aux achats, mais il faudra attendre les premiers jours de l'année 2009 pour connaître le résultat de ces appels d'offres.
Les origines de la Mer Noire restent toujours concurrentielles face aux blés européens toujours pénalisés par la chèreté de l'euro.
A la mi-journée, sur l'Euronext, les prix du blé s'effritaient de 0,50 euro à 2,25 euros dans une ambiance relativement contenue (1.100 lots). L'échéance de janvier, la plus traitée (500 lots), cédait 1 euro à 136,50 euros/t. En maïs, les contrats de la même position restaient stables à 119 euros/t.
Sur un marché physique (gré à gré) désert, les prix étaient reconduits nominalement. Livrée à Rouen, la tonne de blé standard valait 137 euros et celle d'orge 103 euros, tandis que le maïs embarqué sur le Rhin restait affiché à 115 euros.
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mercredi 31 décembre 2008 - 15h18
Stabilité des prix mais faible activité
Le prix du blé restait stable mardi sur un marché à terme européen (Euronext) sans activité.
A la mi-journée, sur Euronext, le prix du blé était reconduit sur les positions rapprochées de janvier à mars (137 euros/t). Il subissait un effritement de 0,25 euro à 0,50 euro sur les positions plus éloignées, dans un volume d'échanges restreint, puisque moins de 700 lots avaient été négociés. Dans le même temps, moins de 20 lots de maïs avaient été traités, en baisse de 0,50 à 3,50 euros (janvier -3,50 euros à 119 euros/t).
Sur un marché physique (gré à gré) en pleine trêve des confiseurs, l'activité est à l'arrêt et les prix sont reconduits nominalement. Ainsi, sur le port de Rouen, la tonne de blé standard reste affichée à 137 euros/t et l'orge de mouture à 103 euros/t. La tonne embarquée de maïs sur le Rhin reste inchangée à 115 euros/t.
Sur la scène internationale, quelques importateurs importants sont aux achats. Le Bangladesh vient d'acheter 100.000 tonnes de blé optionnel, tandis que le Pakistan est à la recherche de 250.000 tonnes de blé américain. Pour sa part, la Syrie a lancé un nouvel appel d'offres pour l'achat de 200.000 tonnes de blé.
D'un point de vue climatique, si les problèmes liés au froid sont limités en Europe, la situation reste toujours préoccupante sur le continent sud-américain, notamment en Argentine où un temps chaud et sec nuit aux cultures de soja et de maïs. Cette situation météorologique peu favorable a largement contribué à la hausse des cours de ces derniers jours sur le marché à terme de Chicago. Même si la Bourse de Chicago s'est repliée hier sous l'effet de prises de profit de fin d'année, la tendance n'en reste pas moins haussière et l'ouverture du marché américain mardi était attendue à la hausse.
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mardi 30 décembre 2008 - 17h18
Marché à terme relativement actif
Les prix des céréales progressaient lundi à la mi-journée, dans le sillage du blé américain, sur un marché européen (Euronext) relativement actif.
«Le marché européen procède à des opérations de couverture avant les fêtes du Nouvel An, mais il faut attendre le 5 janvier prochain, jour de réouverture des organismes stockeurs, pour que les affaires redémarrent réellement» analyse un opérateur.
Outre-Atlantique, le marché des céréales a clôturé en forte hausse vendredi sur le marché à terme de Chicago (CBoT), les traders procédant à des achats de précaution, sur fond de crainte de sécheresse au Brésil et en Argentine, deux exportateurs majeurs de maïs et de soja. Par ailleurs, aux Etats-Unis, des conditions hivernales particulièrement rigoureuses (neige et gel) rendent très vulnérables les semis de blé.
Vendredi, le département américain de l'Agriculture (USDA) a estimé les exportations hebdomadaires de blé US à 253.600 tonnes. Bien qu'inférieures aux attentes des analystes (300.000 à 500.000 tonnes), elles se situent au-dessus du niveau minimum (250.000 tonnes) pour atteindre l'objectif de l'USDA sur la campagne en cours.
Lundi, les cours mondiaux du blé étaient attendus à la hausse à Chicago, pour la quatrième semaine consécutive. A la mi-journée, sur l'Euronext, le prix du blé progressait de 5,25 euros à 6,75 euros sur l'ensemble des échéances. La position de mars 2009 augmentait de 5,50 euros à 137 euros/t.
Dans le même temps, 105 lots seulement de maïs avaient été échangés en hausse de 4,50 euros à 5 euros (échéance mars, + 4,50 euros, à 125,50 euros).
Sur un marché physique (gré à gré) sans animation, le prix du blé se contentait de suivre nominalement la hausse de l'Euronext, affichant la tonne de blé standard à Rouen à 137 euros pour des livraisons entre janvier et mars. En revanche, la tonne d'orge restait inchangée à 103 euros sur le port normand. La tonne de maïs restait à 115 euros embarquée (Fob) sur le Rhin de janvier à juin.
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lundi 29 décembre 2008 - 18h11
Blé un peu mieux orienté
Le marché céréalier est très calme pendant la période fin d'année. Les cours enregistrent des variations de faible amplitude. Le blé apparaît toutefois un peu plus ferme.
L'Egypte a acheté mardi 100.000 tonnes de blé russe pour livraison fin janvier, à un prix fob de 173 dollars par tonne (environ 123,50 €/t). Les offres en blé français se situaient entre 185 et 192 dollars par tonne (entre 132 et 137 €/t).
Les opérateurs ont cependant noté que la transaction égyptienne s'était effectuée sur des niveaux supérieurs de 13 dollars par rapport à la précédente, conclue en novembre.
Le Pakistan vient également d'acheter 590.000 tonnes de blé, dont la provenance n'a pas été précisé.
L'euro restait proche de 1,40 dollar mercredi..
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mercredi 24 décembre 2008 - 16h54
Léger mieux en blé, activité réduite
Le marché céréalier est très calme pendant la période fin d'année. Les cours enregistrent des variations de faible amplitude. Ainsi, le blé apparaissait un peu plus ferme mardi. Sur le marché à terme, Euronext, l'échéance janvier 2009 gagnait 1 €/t (clôture à 130,75 €/t lundi), mars 2009 progressait de 0,50 €/t (clôture à 130,75 €/t lundi), à l'approche de la fin de la séance.
Le blé américain était toutefois baissier en première partie de séance à Chicago. La forte concurrence entre les exportateurs sur le marché international maintient une certaine pression.
L'Egypte a acheté mardi 100.000 tonnes de blé russe pour livraison fin janvier, à un prix fob de 173 dollars par tonne (environ 123,50 €/t). Les offres en blé français se situaient entre 185 et 192 dollars par tonne (entre 132 et 137 €/t).
Le Pakistan vient également d'acheter 590.000 tonnes de blé en provenance de Russie principalement.
L'euro évoluait encore aux alentours de 1,40 dollar mardi.
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mardi 23 décembre 2008 - 21h20
Léger recul du blé sur Euronext
Les cours des céréales évoluent très peu sur le marché physique qui est entré dans sa trève hivernale. Sur Euronext, le blé baissait légèrement lundi L'échéance janvier 2008 cédait 0,25 €/t (clôture à 131 €/t vendredi), mars 2009 perdait également 0,25 €/t (clôture à 130,75 €/t vendredi), à l'approche de la fin de la séance.
Les indicateurs extérieurs aux marchés agricoles évoluaient peu, avec le baril de pétrole qui remontait légèrement et l'euro qui restait aux alentours de 1,40 dollar.
Les céréales fourragères demeurent sous pression en raison de volumes disponibles importants sur le marché communautaire. Pour le blé, le principal enjeu se situe au niveau des volumes qui pourront être exportés vers les pays tiers afin d'équilibrer le bilan. La concurrence de la mer Noire demeure bien présente.
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lundi 22 décembre 2008 - 21h42