Les planteurs des 23 pays producteurs de l’Union, réunis au sein de la Cibe (Confédération internationale des betteraviers européens), regrettent dans un communiqué paru mardi que la proposition de relance du plan de restructuration du secteur sucre faite par Bruxelles début mai prenne surtout en compte les intérêts industriels.
La Cibe réclame un accès un fonds de restructuration plus flexible pour les planteurs, notamment s’agissant des modalités basées sur le principe «premiers venus-premiers servis».
Le syndicat européen souhaite par ailleurs une incitation «efficace et claire» pour renoncer au quota sur 2008-2009, afin d’éviter des stratégies du type «attendre et voir».