Cultures
Pour la FNSEA, il faut éviter que des acheteurs internationaux ne fassent monter artificiellement le prix des cultures sur les marchés mondiaux en spéculant. Pour Dominique Barrau, secrétaire général du syndicat, cette spéculation, néfaste pour les éleveurs, n’est pas demandée par les céréaliers qui souhaitent simplement des prix rémunérateurs.
par Arielle Delest et Marine Gramat
franck60
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marché et prix
jeudi 16 septembre 2010 - 04h10
Il est illusoire de penser que la formation d'un prix puisse se faire sans un marché libre . Celui de Chicago est la référence pour les céréales, le soja ,celui de Winnipeg pour les colzas ...... C'est ainsi que fonctionne le commerce international et un ministre ou un commissaire européen n'a aucun pouvoir pour changer cette réalité. Je crois que les politiques parlent surtout pour s'assurer de leur réélection