Cultures
La contractualisation, mesure phare de la loi de modernisation de l'agriculture, est « l'occasion de redonner du pouvoir aux producteurs », « s'ils sont organisés », a estimé, le 16 novembre 2010, Philippe Mangin, président de Coop de France, qui tenait son congrès annuel.
« Nous irons plus loin que ce qui existe aujourd'hui dans la coopération, notamment, s'agissant de la filière laitière, en intégrant le couple volume-prix », a-t-il poursuivi.
Philippe Mangin reconnaît toutefois que la contractualisation entre céréaliers et éleveurs est un « sujet difficile », car le marché des céréales est un marché mondial. Eleveurs et céréaliers doivent « quand même pouvoir travailler sur la durée, avec des engagements réciproques » avec des contrats qui pourraient permettre de « limiter l'ampleur de la volatilité ».
Aurore Coeuru et Marine Gramat
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