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« La coexistence OGM/non OGM est possible suivant le niveau de contamination en ADN transgénique que l'on tolère entre deux champs, estime Jean-François Dhainaut, président du Haut-Conseil des biotechnologies (HCB). Si l'on s'autorise une contamination à 0,9 %, les pratiques culturales actuelles se révèlent très voisines de ce que nous recommandons. En revanche, si l'on retient une contamination à 0,1 %, plusieurs précautions doivent être prises, en ce qui concerne le taux d'impuretés dans les semences, le stockage des grains, l'éloignement des parcelles OGM et non OGM... Très importante aussi, la concertation entre agriculteurs et avec les apiculteurs. »
Interview : Isabelle Escoffier – Image et son : Marine Gramat
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