L'Union des industries de la fertilisation (Unifa) s'alarme de la mise en place d'une taxe carbone défavorable à l'industrie et contre-productive pour l'emploi.
L'Unifa recommande « vivement la substitution de ce nouvel impôt par une taxe carbone payée aux frontières par les importateurs selon les mêmes critères que le système de quota de CO2 qui éviterait des distorsions supplémentaires avec nos voisins et privilégierait l'emploi ».
Elle rappelle la réalisation du guide de calcul des gaz à effet de serre (GES) en partenariat avec l'Ademe et les efforts consentis depuis 2005 par les industries de la fertilisation ayant permis une diminution de 65 % des émissions des GES.
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mardi 21 mai 2013 - 18h41
Pas de problème: on mettra moins d'engrais; la production baissera et les prix flamberont. Quant aux protéines: terminé!