« La libéralisation du secteur photovoltaïque n'a pas amélioré sa compréhension », a commenté un député, le mardi 16 novembre 2010, à la suite de l'audition des acteurs de cette filière par l'Assemblée nationale.
Les élus ont notamment fustigé le « manque de transparence » entourant la liste des projets actuellement en attente.
Pour Hadrien Clément, président de l'Apesi (Association des producteurs d'énergie solaire indépendants), il est nécessaire de « purger cette file d'attente afin d'éliminer les projets purement spéculatifs ». Il suffirait, selon lui, « d'obliger les personnes ayant bénéficié de tarifs avantageux à s'engager financièrement, à hauteur de 30 % des investissements totaux ».