Le ministère a annoncé dans l’après-midi de mardi que les résultats préliminaires des analyses effectuées à partir des prélèvements réalisés dans l’élevage de Haute-Marne où 4 000 poulets sont morts brutalement le 16 décembre, permettaient d’écarter le virus de la grippe aviaire des causes de mortalité. C’est vraisemblablement un accident de ventilation qui aurait provoqué une hausse de température et par voie de conséquence un étouffement des animaux. Les recherches en laboratoire, destinées à couvrir l’ensemble des infections virales réglementées possibles, se poursuivent selon le protocole prévu. Les animaux survivants présentent un état de santé tout à fait satisfaisant, ce qui conforte le diagnostic du vétérinaire.