Taxer plus les aliments qui posent des problèmes et alléger au contraire ceux qui apportent des bénéfices tels les fruits et légumes, telle est la proposition du conseil économique et social (CESE) qui a été émise dans un avis qui devrait être adopté mercredi par l'assemblée plénière.
Le CESE souhaite par ailleurs que les allégations de santé apposées sur les produits fassent l'objet de contrôle. Seules les vertus scientifiquement prouvées devraient pouvoir être utilisées.