« Ancrée dans l'inconscient collectif : l'idée selon laquelle l'agriculture écologique ne pourrait pas nourrir le monde. Nous pensons au contraire qu'elle est la solution, la seule alternative pour sortir d'un modèle agricole destructeur qui ne répond plus aux besoins d'aujourd'hui », soutient Greenpeace à l'occasion de la publication, à la mi-août, du rapport « Agriculture écologique : 7 principes clés pour replacer l'humain au cœur du système alimentaire ».
Les voici :
- Renforcer la souveraineté alimentaire,
- Donner une place de choix aux agriculteurs et à la ruralité,
- Améliorer la production et les rendements alimentaires,
- Favoriser la biodiversité,
- Préserver l'eau et la santé des sols,
- Choisir des méthodes écologiques pour lutter contre les parasites,
- Développer la résilience des systèmes alimentaires.
« Il faut cesser de nous faire croire que produire plus permettra d'éliminer la faim dans le monde, affirme Greenpeace. La situation dans laquelle nous sommes aujourd'hui est hautement plus complexe et paradoxale. Selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), à l'heure actuelle, 1,5 milliard d'adultes sont en surpoids, 30 % de la nourriture est gaspillée et un milliard de personnes souffrent de famine. »
« La solution n'est pas de produire plus, mais de produire là où il faut, avec des méthodes qui respectent notre environnement. Le système agricole actuel est tout simplement incapable de relever ce défi. »
« Nous produisons aujourd'hui plus de nourriture que jamais. Quantitativement, la nourriture produite aujourd'hui peut largement nourrir une population de 7 milliards de personnes. Le problème réside dans le fait que, dans certaines régions de la planète, trop de nourriture est produite pour être ensuite gaspillée (les pays industrialisés par exemple). Alors que dans d'autres, comme les pays en développement, les rendements agricoles sont si bas que les agriculteurs eux-mêmes peinent à se nourrir. »
« Il est impossible d'imposer un système agricole standardisé dans toutes les régions du monde, indépendamment de leurs caractéristiques. De nombreux scientifiques estiment que la solution à apporter à ce problème de répartition doit être spécifique à chaque pays. »
et quoi
samedi 22 août 2015 - 00h17
que greenpeace montre l'exemple la France d’après guerre était incapable comme beaucoup de pays d’Europe a nourrir son peuple juste un conseil rapproche les rangs de culture est écologique mais les revenus dégagé ne permettent même pas cette mesure simple et logique crocodile40