« Les betteraves souffrent également du manque d'eau et on perd du rendement c'est sûr, a souligné jeudi Ghislain Malatesta de l'ITB (Institut technique de la betterave). Mais il n'y a pas encore péril en la demeure. » En effet, si la journée les plantes fléchissent, la nuit et le matin elles se redressent. « On attend impatiemment les pluies », ajoute-t-il.
Globalement l'état sanitaire est bon. « L'avantage des fortes températures, c'est qu'il y a peu de maladies fongiques », se félicite le spécialiste. Et d'ajouter : « Nous observons par ailleurs quelques montées à graines. »