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« Nous envisageons la contractualisation (interfilière, NDLR) de manière très dynamique, très proactive. Dans un contexte de volatilité accrue des matières premières, c'est un sujet stratégique et structurant pour les filières », a affirmé Jean-Luc Cade, président de Coop de France nutrition animale, le 14 avril.
« Durablement, les filières ne pourront exister que si chaque maillon dégage une marge suffisante et dans le temps. Soit on raisonne sur le marché spot avec les aléas qui sont liés, soit on envisage une relation plus contractuelle entre dans les différents maillons, et on rentre dans une construction de marges sur une longue durée », explique-t-il.
« Du côté de l'amont, on doit mettre dans la balance ce que l'on peut mettre en œuvre dans la cadre des relations entre les différents maillons de l'amont. Mais ça ne sera pas suffisant. Il faudrait également que la discussion soit poursuivie du côté de l'aval », ajoute Jean-Luc Cade.
Eric Roussel et Marine Gramat
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