Mise en demeure par l'avocat de l'Association nationale pommes poires (ANPP) de renommer son rapport intitulé « Pommes empoisonnées – Mettre fin à la contamination des vergers grâce à l'agriculture écologique », Greenpeace a indiqué qu'elle ne renommerait pas son rapport. « Modifier son titre ne changera rien aux résultats des tests présentés », explique l'ONG dans une déclaration publiée vendredi.
Greenpeace estime par ailleurs que « changer en profondeur notre modèle agricole et alimentaire ne peut reposer sur les seuls efforts des agriculteurs » et appelle à un engagement de la grande distribution « qui exerce une pression excessive sur les producteurs ».