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Pays de la Méditerranée

Paris prône une concertation façon G20 pour l'agriculture et l'alimentaire

Publié le jeudi 27 septembre 2012 - 19h10

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La France souhaite renforcer la coopération sur les questions agricoles et alimentaires autour de la Méditerranée en s'inspirant des mécanismes adoptés par le G20, a plaidé jeudi à Malte son ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll.

 

S. Le Foll participait à la 9e réunion des ministres de l'Agriculture du bassin méditerranéen pour préparer la prochaine réunion de la FAO, l'Agence des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation à Rome le 16 octobre, a précisé le ministère dans un communiqué.

 

S. Le Foll « les a encouragés à une plus grande coordination en s'inspirant des outils mis en place au titre du G20 agricole, en particulier le système d'information sur les marchés agricoles (Amis) », selon le document.

 

L'Amis, créé lors du sommet des 20 principales économies de la planète en juin 2011 à Cannes, vise à garantir une plus grande visibilité sur les marchés des céréales essentielles à la sécurité alimentaire mondiale (blé, maïs, et riz).

 

La réunion de Malte avait pour thème « sécurité alimentaire et volatilité des prix dans les pays méditerranéens », dans un contexte d'augmentation généralisée des cours sur le marché mondial et « alors que cette zone (la Méditerranée) est la plus déficitaire au monde en produits alimentaires » insiste le ministère français.

 

Le rendez-vous maltais a également offert à Stéphane Le Foll l'occasion d'une série de rencontres bilatérales avec les partenaires réguliers de la France comme l'Algérie et le Maroc, grands acheteurs de blé, ainsi que la Turquie, poursuit le ministère.

 

Ce dernier contact est particulièrement important pour les éleveurs français alors que la Turquie a repris en 2011 ses importations de bovins après quinze années d'embargo, justifiées officiellement par les craintes d'épidémie d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), dite maladie de la « vache folle ».

 

Le ministre en a profité pour « plaider auprès de ses interlocuteurs une simplification des procédures d'exportation vers (la Turquie) », qui représente un énorme marché potentiel, ajoutent ses services selon lesquels les exportations françaises de bovins vivants ont atteint cette année 164 millions d'euros.

 


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