Dans une lettre adressée en juillet au sous-préfet de Saint-Girons (Ariège), en charge du dossier « ours », l'Aspap (Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège-Pyrénées) a tiré la sonnette d'alarme :
« Attaques d'ours incessantes, troupeaux affolés devenus incontrôlables, troupeaux dispersés par la course poursuite des ours, bêtes manquantes... voilà ce que subissent quotidiennement les éleveurs et les brebis depuis leur montée dans les estives du Couserans... »
Pour le seul mois de juin, une quarantaine de brebis sont mortes sous les crocs des ursidés rien que sur le territoire ariégeois.