Dans un communiqué du 13 août, la Coordination rurale (CR) et son Organisation des producteurs de grains (OPG) se demandent si « 2012 voit revenir le spectre de 2007, avec des prix de grains en forte hausse ». Si cette situation « génère la satisfaction chez les producteurs de grains », elle « provoque un grand désarroi du côté des éleveurs confrontés à des conditions économiques inacceptables ».
« L'agroalimentaire communique sur son "obligation" de répercuter la hausse des coûts matières premières aux consommateurs. Ce sera tout profit pour ce secteur qui, quel que soit l'avenir, ne reviendra plus sur les tarifs du premier semestre 2012 (la démonstration en a déjà été faite après la hausse de 2007, la baisse des cours de 2009 n'a eu aucun effet de baisse sur les prix alimentaires de l'époque). »
La CR et l'OPG soulignent également que :
• « La Politique agricole commune n'a cessé depuis 1992 de prôner la dérégulation des marchés des grains. La version 2014 de la Pac ne sera pas mieux pourvue à cet effet.
• Le prix des céréales n'a cessé de baisser au cours des 20 dernières années, en valeur courante, pour être globalement au niveau de ce qu'il était en 1980. Quelle profession aurait pu s'accommoder d'une telle condition ? Cette baisse tendancielle du prix ne serait-elle pas la principale responsable de l'insuffisance de production ?
• Huit années sur dix, la production mondiale de céréales est inférieure à la consommation... et les stocks internationaux ne font que baisser. Le moindre phénomène climatique anormal vient donc accentuer cette situation de crise et inciter les spéculateurs à intervenir sur un marché complètement dérégulé.
• La consommation mondiale ne cesse d'augmenter. Les producteurs agricoles subissent toujours plus de contraintes qui limitent leurs rendements et les réglementations actuelles ne limitent pas la baisse des stocks, elles l'accélèrent. »
« Si aucune inflexion significative n'est apportée au projet de Pac actuelle, il y a fort à parier que le pic "céréales" (une production inférieure aux besoins de consommation entraînant une réduction des stocks) soit atteint. Un signal alarmant que les marchés semblent de plus en plus intégrer », conclut le communiqué.
IL NE FAUT PAS TOUT MELANGER....
mardi 14 août 2012 - 11h00
ENCORE A BOIRE ET A MANGER DANS CETTE SALADE ...IL FAUT TOUT REMETTRE A PLAT... ON A VENDU DU MAÏS DANS LES ANNÉES FIN 80 1300-1400 FRANCS/ TONNE... LA PAC 1992 A CHAMBOULÉ TOUT CELA VALIDÉ PAR UN SYNDICALISME EUROPÉEN OU LA PLUPART D ENTRE EUX ONT CRU VIVRE D AIDES A SE TOURNER LES POUCES... L AIDE/QUINTAL (FEOGA) NE POUVAIT DURER D OU CETTE MISE EN MUSIQUE D UNE VÉRITABLE USINE A GAZ QU EST LA PAC MAINTENUE ET SOUHAITÉE PAR TOUTE CETTE TECHNOCRATIE D INUTILES QUI SE REMPLISSENT LES POCHES TANT QU IL RESTERA QUELQUES PAYSANS .... ON POUVAIT FAIRE BEAUCOUP PLUS SIMPLE ET TOUT CELA VA CONTINUER.. LÂ OU L HOMME MET SON BOUT DE NEZ, TOT OU TARD ON TOMBE DANS DES COMBINES ET DES CONFLITS D INTERET...PAS DE PAC .. PAS DE SUBVENTIONS... DES PRIX ET DES RÉPERCUTIONS AFIN DE RÉMUNÉRER LE PRODUCTEUR ... MAIS PAS DE PONCTIONS FISCALES CHEZ LE CONSOMMATEUR...UNE DICTATURE DE LA TRANSPARENCE D UN BOUT A L AUTRE DE LA CHAINE... ARRÊTEZ LES MENSONGES,LES MAGOUILLES ET LES COMBINES ET PLUS DE PLACE POUR LES FAINÉANTS.. QUI PAYE CETTE SALOPERIE DE PAC ??? LE VERSEMENT DES 20 MILLIARDS DE L ÉTAT A LA PAC ...CÂ VIENT D OU BANDE D IMBÉCILES ??? DE TOUS LES CONS QUI PAYENT ...SPOLIÉS PAR UNE ADMINISTRATIONS INUTILES QU IL FAUT RÉDUIRE AU MAXIMUM... TROP DE BÉNI-OUI-OUI ET DE "BIEN PENSANTS" MALHONNÊTES DANS CE PAYS...