Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, a reçu, le mardi 2 juillet 2013, les rapports de Bernard Chevassus-au-Louis et de Stéphane Martinot portant sur la structuration au niveau national de l'enseignement et de la recherche agronomique et vétérinaire.
« Ces rapports s'inscrivent dans le cadre de la préparation de la loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt, et sont des contributions à la concertation de l'ensemble des acteurs », indique le ministère dans un communiqué du 3 juillet.
« Dans son rapport, Bernard Chevassus-au-Louis appelle à une mobilisation pour une meilleure efficacité et coordination de tous ceux qui agissent pour la connaissance et l'innovation agricole, c'est-à-dire à la fois l'enseignement technique, supérieur et la recherche mais aussi les acteurs du développement agricole et agroalimentaire, et ce tant au plan local que national. »
« Il souligne par ailleurs l'importance d'une meilleure intégration des problématiques agronomiques dans les structures et programmes de l'enseignement supérieur et de la recherche. »
« En concertation avec l'ensemble des écoles d'agronomie concernées à travers le territoire, le rapport identifie également une série de missions dont la dimension nationale est prépondérante. Il préconise d'inscrire dans la loi d'avenir le principe de la création d'un nouvel établissement public, pouvant associer les membres actuels d'Agreenium et d'autres établissements d'enseignement supérieur et de recherche impliqués dans les mêmes domaines. »
« S'agissant du rapport de Stéphane Martinot, le rapport insiste sur la nécessité d'une évolution de l'organisation des écoles vétérinaires, passant par la mutualisation de projets et de compétences : enseignement, recherche, activités internationales et fonctions supports. »
« Afin de faire vivre cette dynamique commune, le rapport préconise la création d'un établissement public administratif auquel se rattacheraient les quatre établissements existants. Cette création devrait, selon le rapport, se faire tout en maintenant la personnalité juridique et morale des établissements actuels sur leurs sites. »
« Désormais rendues, ces recommandations vont faire l'objet d'un partage et d'une large consultation, afin d'aboutir en septembre à la présentation par le ministre de ses décisions en la matière », conclut le communiqué.
DES TACHES SIMPLES POUR SUPERMAN..
jeudi 04 juillet 2013 - 23h07
QUE DE LACUNE POUR BEAUCOUP DE NOS AGRICULTEURS QUI CES 20 DERNIÉRES ANNÉES N OSAIENT PLUS AVOIR UNE BÊCHE DANS LA CABINE DU TRACTEUR...IL EST VRAI QU UNE BÊCHE DE 40 € DANS UNE TRACTEUR DE 180 CV AU PRIX DE 100000 €,CELA NE PARAIT PAS TRES SÉRIEUX. POURTANT QUE DE CHOSES ENRICHISSANTES A DÉCOUVRIR DANS LE SOL AVEC UNE BÊCHE...ELLE APPORTE TOUT LA BÊCHE, VISUALISER LA FAUNE, LES RACINES DE LA FLORE ET DE LA CULTURE DÉPLOYÉES DANS LE SOL. ELLE INDIQUE DE PLUS LE DEGRÉ DE COMPACTION DE LA TERRE ET SA TEXTURE-STRUCTURE...ALLEZ ACHETER DES BÊCHES OU RACOURCISSAIT LE MANCHE DES BÊCHES DU JARDIN POUR QU ELLE LOGE DANS LA CABINE...L ERREUR DES 30 DERNIÉRES ANNÉES EST QUE LE PROFIL ET LE COMMENTAIRE D UN SOL NE POUVAIT S ENVISAGER QUE PAR DES AGRO RECONNUS. IL FALLAIT SORTIR DE L INA-PG...JE SUIS SUR QUE LE REGRETTÉ MICHEL SEBILLOTTE QUI A TANT APPORTÉ A LA NOTION DE "PROFIL DE SOL" AURRAIT PROBABLEMENT SOUHIATÉ QUE LES PAYSANS PRENNENT TOUTE LEUR PLACE DANS LES FOSSES PÉDOLOGIQUE LORS DE LA "RELANCE AGRONOMIQUE" DES ANNÉES 70...