«Notre industrie est capable de s'adapter à un régime sans quotas et à un contexte de marché fluctuant», assure Joop Kleibeuker, secrétaire général de l'association laitière européenne (EDA), qui défend les intérêts des industriels auprès des institutions européennes.
Du moins avec le soutien de la Commission, qui devra veiller à une «transition douce» d'ici à 2015, si besoin est en utilisant des outils de soutien comme l'aide au stockage privé, ajoute le communiqué de cette organisation.
«La fréquence et l'ampleur de ces hausses doivent être annoncées le plus tôt possible» pour que les industriels puissent adapter leur stratégie, recommande Joop Kleibeuker, qui suggère «une hausse graduelle des quotas nationaux, basée sur la situation du marché.»